NICOLAS HULOT IMPUISSANT CONTRE LES PESTICIDES DANGEREUX POUR LA SANTÉ PUBLIQUE ET POUR LES MINISTRES DE L'ÉCOLOGIE ...COMME SÉGOLÈNE ROYALE COURAGE, FUYONS
NICOLAS HULOT RÉALISE QU'UN MINISTRE DE L'ÉCOLOGIE EST INUTILE DANS LA CONJONCTURE ÉCONOMIQUE ET POLITIQUE ACTUELLE : DOMMAGE !
Après l'abandon de la politique par Madame Nathalie KOSCIUSKO MORIZET,
voir
http://www.olonnes.com/2018/08/est-il-possible-de-servir-la-politique-en-france.htm
c'est maintenant Nicolas HULOT qui claque la porte du gouvernement et d'une certaine façon de la politique telle qu'elle se vit actuellement en FRANCE.
De là à dire que la France est en crise et ne peut investir dans le domaine écologique pourtant source, s'il est bien géré, d'une économie créatrice de richesses, d'emplois, préservant notre terre...
Sur les dossiers test comme le glyphosate, les pesticides en général, les énergies nouvelles., le nucléaire... les promesses du Président de la République et de son gouvernement étaient du vent et Nicolas HULOT aurait dû savoir que ces promesses ne résisteraient pas à la réalité profonde de l'économie française.
En effet, cette rentrée 2018 est celle du retour au dur réalisme, Emmanuel MACRON se révèle incapable de tenir ses promesses car il a été :
incapable de faire des économies sur les dépenses publiques,
incapable de faire diminuer la dette publique,
incapable de faire vraiment baisser sérieusement le chômage,
incapable de tenir sa promesse sur l'abaissement du déficit budgétaire,
incapable de faire fructifier son image de marque de début de mandat et son crédit confiance...
Il a maintenant à faire front à une chose terrible : la réalité économique qui tue sans pitié les promesses non finançables et leurs auteurs.
Nicolas HULOT a donc bien tiré les conclusions de son impuissance comme ministre. Il devenait l'otage alibi d'un d'échec du Président de la République. Il n'a pas voulu être l'otage d'un système politique condamné : celui qui distille des promesses qui ne sont pas tenues et qui plonge le peuple français dans la méfiance, le dégoût et peut-être demain la révolte et le choix irrationnel de l'extrémisme.
Autre conclusion : les écologistes n'ont plus la cote. À l'image de ce qui se passe en VENDÉE les politiciens écologistes se sont vendus, ont perdu leur âme et ont aussi tué l'écologie politique : l'écologie est rendue au peuple, c'est l'affaire de tous.