BAS LES MASQUES ! et trahisons
JUIN 2009
C'était lors de la réunion publique de la présentation de l'étude sur le fusion à
Château d'Olonne
De gauche à droite : Monsieur Louis GUEDON, député maire des Sables d'Olonne, Président de la Communauté de Communes des Olonnes, Monsieur Yannick MOREAU, maire d'Olonne-sur-Mer, Monsieur
Jean-Yves BURNAUD, maire de Château d'Olonne.
Union de façade ? malheureusement OUI, donc cette photo montre La future mésentente (pas cordiale)
SEPTEMBRE 2009
Ce jour, 18 septembre, les choses sont claires pour Olonne-sur-Mer et pour Les Sables d'Olonne, les olonnais et
les sablais auront à la même date le 29 novembre à "voter" , à répondre à
la même et unique question :
"Etes-vous favorable à la création d'une
nouvelle commune fusionnant les communes du Château d'Olonne, des Sables d'Olonne et d'Olonne sur Mer ?"
Et les castelolonnais ?..maintenant ils sont fixés :
Ils auront "si possible" le droit à une consultation peut-être en avril 2010 mais en plus, ils auront à se prononcer éventuellement sur une question qui n'a rien à voir sur le sujet
FUSION.
Monsieur Jean-Yves BURNAUD a donc peur d'ouvrir le débat avec ses concitoyens, a peur du verdict des urnes, a peur d'un débat démocratique,
mais n'a pas peur de renier ses promesses électorales (ce n'est pas une nouveauté), n'a pas peur de rendre impossible la gestion de nos trois cités...
mais pourquoi ?...
Simplement parce que l'essentiel, pour le Maire de Château d'Olonne, est de terminer son mandat confortablement assis dans son fauteuil de maire, préservant certainement de viles intérêts
personnels au détriment de l'intérêt général.
Par contre, le débat démocratique dont Monsieur Jean-Yves BURNAUD prive ses concitoyens aura quand même lieu parce que des dizaines de concitoyens castelolonnais se mobilisent pour que
Château d'Olonne ne soit pas une cité isolée du Pays des Olonnes et qu'ils ont le droit de s'exprimer sur leur avenir.
Il faut espérer que, parmi les élus de la majorité de Monsier le Maire Jean-Yves BURNAUD, il y en ait qui, gardant leur libre arbitre, écoutant leurs concitoyens et ayant du courage oseront dire
qu'ils ne sont pas d'accord pour s'engouffrer dans l'impasse où les conduit Monsieur Jean-Yves BURNAUD.