L’ÉCOLOGISME FAIT RÉGNER SA TERREUR DANS LES PRÉFECTURES ET DANS LES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
La technocratie écologique s’est installée dans ses bureaux au sein les Directions Régionales de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement...la DREAL.
Elle est devenue la terreur des collectivités territoriales, des élus locaux et de tous les porteurs de projets qui doivent passer sous les fourches caudines de ses bureaucrates.
C'est une situation qui éclate aux yeux et oreilles de citoyens qui sont en prise avec la réalité locale : leurs élus sont dépendants pour leur projets de la DREAL.
Bien planquée derrière l’Autorité nommée Préfet, elle fait et défait les projets préparés des années durant par les élus qui, eux, se fondent, par obligation, sur des critères aussi fluctuants que la jurisprudence des Tribunaux Administratifs dite bien à tort constante ; sauf si l’on considère que la constance de la doctrine écologique de l’Administration, de ses TRIBUNAUX est dans les normes figée comme une chose appelée mouvements browniens.
D’ailleurs voici le splendide descriptif qu’a fait de cette bureaucratie et du résultat de son action un observateur :
« antiscience, anti-entrepreneurs, anti-progrès, anti-mérite, anti-agriculture, anti industrie, on rêve de décroissance, on devient un musée agro-historique pour touristes étrangers. »
Avec le recul quand on voit les erreurs d’appréciation et de gestion faite par la Préfecture de la Vendée lors de la phase antérieure au désastre de la tempête XYBTHIA et pendant la tempête et c’était en février 2010 il y a tout à craindre des fonctionnaires écologistés et planqués au sein de la DREAL.
LES ÉLUS SONT NULS, LES AGENTS DE LA DREAL ONT LE POUVOIR
Les élus ont un avantage c’est qu’ils connaissent le terrain et ils ont leur légitimité d’élus du peuple, les écologistes de la DREAL ont les leurs : ils ont la science infuse, l'irresponsabilité et le pouvoir de vie et de mort sur les projets locaux.
De ce rapport de force, nous pouvons tous conclure que les meilleurs projets du monde peuvent bénéficier d’un véto du plus petit directeur régional, directeur adjoint, sous-directeur, chef de service...de l’Environnement oint du sceau ECOLO ( nous écrivons bien sceau et non sot) breveté écologiste.
Comme l’écrit le chroniqueur Frédéric MAS « Ajoutons que la position de monopole de la DREAL en matière de décision publique sur la question écolo offre en complément peu d’incitations pour son personnel de prendre en compte les avis et les retours d’expérience qui ne proviennent pas de sa propre hiérarchie. »
Autrement dit le savoir de terrain de l’élu est présumé nul !
Comme tout projet local ou national important comporte un volet écolo ou au moins a un impact même infime sur notre planète, la DREAL et ses fonctionnaires indéboulonnables mais omnipotents et irresponsables s’est donc octroyée le droit de véto sur tout projet même favorable à des projets d’amélioration de la qualité de vie du citoyen et à l’écologie même.
Ainsi le rôle de Conseil auprès des élus au niveau de la DREAL devient un rôle de Censeur de projets locaux porteurs de progrès.
On peut dire que si l’on examine l’évolution titanesque du Code de l’Environnement https://www.legifrance.gouv.fr/codes/id/LEGITEXT000006074220/
et si l’on n’y prend garde, c’est la DREAL représentant du pouvoir central qui va prendre la gouvernance de tous les projets locaux et pouvoir bouter pour les faire avorter tous les projets des élus locaux dans la fange de la complexification d’une législation galopante.