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12 avril 2019 5 12 /04 /avril /2019 22:48
LES SABLES D’OLONNE, VOTE DU BUDGET 2019, L’ABSENT JOËL MERCIER OSE EN PARLER

 

 

1er AVRIL 2019, JOËL MERCIER, ANCIEN MAIRE DE CHÂTEAU D’OLONNE, AURAI DÛ ASSISTER AU CONSEIL MUNICIPAL DE LA VILLE NOUVELLE DES SABLES D’OLONNE POUR PARLER EN TOUTE CONNAISSANCE DE CAUSE DU VOTE

 

Nous vivons une époque hallucinante aux Sables d’Olonne :

 

Le choix de la date du 1er avril pour faire un conseil municipal chargé d’examiner une délibération aussi importante que 1er budget de la Ville Nouvelle avait la saveur d’une plaisanterie de bon goût.

 

 

Joël MERCIER, ancien maire de Château d’Olonne

 

élu démissionnaire donc coupable devant ses électeurs d’abandon de poste,

 

qui, par ce choix indigne, a perdu son droit de siéger au conseil municipal et donc de s’exprimer publiquement comme élu,

 

mauvais perdant d’un vote du 2 janvier 2019 qu’il avait organisé et qui ne lui a pas été favorable,

 

très mauvais gestionnaire de sa commune et de feue la Communauté de Communes des Olonnes CCO

 

 

  • juge par voie de presse le budget de la nouvelle ville.

 

 

Les bienfaits de la liberté de la presse viennent de permettre au Journal des Sables du jeudi 11 avril 2019 de rapporter les jugements et réactions de Joël MERCIER sur le vote du 1er budget de la Ville Nouvelle.

 

La majorité actuelle du conseil municipal des Sables d’Olonne n’a pas pour habitude de tomber dans le piège d’une réponse à ce genre d’article polémique.

 

Par contre, notre rôle d’informateur et d’investigateur nous contraint à livrer une analyse des réactions par voie de presse de Joël MERCIER et Brigitte TESSON.

 

La matière étant ardue nous allons donc disséquer ces réactions pour les analyser sereinement et les livrer à dose homéopathique.

 

Pour plus de précisions sur ce budget nous vous renvoyons à nos précédents articles.

 

http://www.olonnes.com/2019/04/les-sables-d-olonne-conseil-municipaldu-lundi-1er-avril-2019.html

 

Depuis des années, nous disons gentiment qu’en mairie de Château d’Olonne le mensonge, parfois simple contre-vérité, était institué en méthode de gouvernance. Un exemple trés récent, sur le dossier récent de littoral 3. Maintenant les « élus démissionnaires », nouvelle catégorie d’élus, se font entendre comme si rien n’avait changé le 2 janvier 2019 mais par voie de presse…omettant qu’ils ne sont plus élus mais simplement démissionnaires.

 

Citons le Journal des Sables

 

« Joël MERCIER fustige par ailleurs le faible nombre de participants au vote : 55 élus sur 99 »

 

LE DROIT DE FUSTIGER AU NOM DE LA LIBERTÉ D’EXPRESSION N’EST PAS LE DROIT DE MENTIR ET DE METTRE LA PRESSE EN PORTE À FAUX MÊME SI L’ARTICLE N’EST PAS SIGNÉ !

 

Joël MERCIER qui n’a pas assisté à ce conseil municipal donne une fausse information puisque les présents lors du vote et les pouvoirs donnés par les absents excusés représentent ce soir du 1er avril, pour cette question, un vote favorable de 69 VOIX POUR et UNE VOIX CONTRE (Madame Nicole LANDRIEAU) et non 55 participants au vote comme annoncé par Joël MERCIER!.

 

Celui-ci  après avoir été élu durant 3 décennies ignorent-il encore que les élus absents peuvent donner pouvoir ? Ce soir il y avait au moins 15 pouvoirs ! (voir le compte rendu en ligne sur le site de la mairie !)

 

Nous nous souvenons que sur le vote sur le dévoiement en juillet dernier le même Joël MERCIER a bien fait voter les pouvoirs (ce qui est logique) alors que les élus qui avaient reçu mandat avaient omis de lever la main ! (ce qui n’était pas logique). Sans ce vote litigieux le dossier littoral 3 était envoyé aux oubliettes !

 

Premier énorme mensonge dans cet article et perte du droit de fustiger pour l’ancien maire de Château d’Olonne.

 

Joël MERCIER largement battu lors du vote pour l’élection du maire a démissionné et entraîné dans cette démarche une trentaine d’élus : mélange hétéroclite d’élus de droite, de gauche socialiste, insoumis, vert…des 3 ex communes.

 

Il espérait par cette manœuvre provoquer de nouvelles élections.

 

Encore un dossier mal préparé par Joël MERCIER ; le Préfet de la Vendée et le Tribunal Administratif de Nantes ont rejeté cette prétention. Les deux procédures initiées par Joël MERCIER sous forme de référés devant le Tribunal Administratif de Nantes ont aussi été rejetées.

 

Il a donc été fait appel aux suivants de liste pour remplacer les démissionnaires et retrouver un conseil municipal de 80 conseillers voire plus. Ce fut une nouvelle claque pour Joël MERCIER, car ces nouveaux élus sont presque tous venus grossir les rangs de la majorité du maire élu Yannick MOREAU !

 

NEMO PROPRIAM TURPITUDINEM ALLEGANS (nul ne peut se prévaloir de sa propre turpitude)

 

Cet adage convient parfaitement à la situation que nous vivons.

 

Des élus démissionnent : c’est leur droit même si pour la démocratie c’est un acte condamnable en l’espèce puisque l’élu a reçu un mandat du peuple. Ce n’est pas parce qu’il reçoit une claque de la part de ses pairs qu’il doit démissionner…il est élu pour effectuer son mandat jusqu’à son terme sauf cas de force majeure.

 

Donc le propos de Joël MERCIER cité dans l’article ci-dessus est extraordinaire ; je démissionne de mon mandat avec une trentaine de collègues et je « fustige » le fait qu’il y ait si peu d’élus pour voter le budget !...et en plus en falsifiant le résultat du vote.

 

Renversant !

 

Joël MERCIER a imposé que les 99 élus des 3 communes fusionnantes aillent jusqu’au bout du mandat (mars 2020) : une vraie folie de démagogie une ville de 43 000 habitants avec 99 conseillers municipaux (à mettre au Guiness des Records !)

 

Maintenant il en entraîne une trentaine de collègues à démissionner et s’étonne qu’il n’y en ai plus que 55 « participants » au vote !

 

La faute à qui ?...aux démissionnaires qu’il faudrait fustiger.

 

 

Nous l’avons dit et répété, pendant 30 ans, l’équipe Jean-Yves BURNAUD et Joêl MERCIER a pris les castelolonnais pour des demeurés, les a trompés :

 

  • justement en votant des budgets insincères (voir prochain article),
  •  
  • en se disant favorable à la fusion et en torpillant celle-ci à toutes occasions,
  •  
  •  en passant des marchés de manière illégale et en faisant disparaitre les documents lors du contrôle  de la Chambre Régionale des Comptes,
  •  
  • en bradant les terrains communaux (Villeneuve, le terrain de la piscine)...

 

 

Il faut que les citoyens sachent et ne se laissent plus prendre.

 

 

À SUIVRE : LA GESTION COMMUNALE VUE PAR LES NULS

2 JANVIER 2019 : UNE SEULE ÉCHARPE POUR 3 CANDIDATS

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