50 ans, 70 ans sans guerre...la France avait rarement vécu d'aussi longue période sans guerre ou au moins sans grave conflit et pourtant les français ont le moral dans les chaussettes.
Pourquoi ? Crise de confiance, le chômage, la perte de crédibilté des élus, une "élite dirigeante " sans projet et loin, très loin du peuple, des media qui préférent au nom de l'audimat le noir au ciel bleu...
et pourtant le ciel bleu existe encore, l'espoir aussi, les voeux de nouvel an en sont pleins, les jeunes ont toujours autant d'enthousiasme, les retraités s'activent auprés de leurs petits enfants et s'investissent dans le monde associatif...
Dans ce climat contrasté nous recevons ces deux commentaires que nous vous tranmettons avec un plaisir non dissimulé .
De l'espoir :
DEMOGRAPHIE AU PAYS DES OLONNES :
Les élus commentent leurs « chiffres » comme s’il s’agissait d’une unité de mesure de la valeur ou du dynamisme des villes.
Il faut dépasser ce raisonnement de cour de récréation.
Les chiffres montrent que la communauté d’agglomération alternative à la commune unique au pays des Olonnes avancée par des candidats irresponsables aux prochaines élections municipales de 2014 n’est pas réaliste. Le seuil des 50 000 habitants légalement nécessaire, n’est pas près d’être atteint. Cet argument est fallacieux.
Les habitants du pays d’Olonne qu’ils soient sablais, olonnais, chaumois, castelolonnais, natifs, « émigrés » appartiennent à une seule entité « leur pays » où il fait bon vivre. Et n’acceptent pas les arguments mensongers.
L’ objectif convaincant est celui de la commune unique.
Sur le difficultés rencontrées par de nombreuses familles en terre olonnaise et talmondaise concernant la facturation de l'eau
"En France, l'eau potable relève de la compétence des communes. Au début du XXe siècle, la majorité des communes de Vendée ont choisi de se regrouper en Syndicats d'Alimentation en Eau Potable. En 1961, est créé le Syndicat Départemental d'Alimentation en Eau Potable.
Depuis plus de 50 ans, Vendée Eau, Service public de l'eau potable, organise la distribution de l'eau potable en Vendée. Devenu Vendée Eau en 2004, ce regroupement a mis en commun les moyens et harmonisé le prix de l'eau sur le département. Aujourd'hui, 277 communes sur les 282 que compte le département ont adhéré à Vendée Eau.
Sont demeurées indépendantes du groupement « Vendée-Eau » les communes de Saint Philbert de Bouaine, Rocheservière, St Mars la Réorthe, La Roche Sur Yon et Fontenay.
Dès l'origine, les élus ont contrôlé la gestion de l'eau et sont réputés rester au plus près des besoins des usagers. Ainsi, ce sont des délégués, issus des conseils municipaux des mairies adhérentes, qui ont en charge l'administration des Syndicats Intercommunaux d'Alimentation en Eau Potable et de Vendée Eau.
De ce fait, Vendée Eau est le maître d'ouvrage de l'ensemble des travaux d'entretien, de renouvellement, de renforcement et d'extension
des réseaux et des ouvrages. Il fixe la programmation annuelle des investissements à réaliser, après avis et priorités établis par les collectivités adhérentes. Il procède à la passation des
contrats d'études et de maîtrise d'œuvre et des marchés de travaux correspondants, et finance ces travaux. Il détermine le mode d'exploitation et désigne les délégataires, conformément aux
dispositions législatives en vigueur et passe les contrats de délégation correspondants.
Vendée Eau fixe annuellement le tarif de l'eau potable qu'il vend aux abonnés.
Alors pourquoi les élus de la CCO issus des conseils municipaux des trois communes se dérobent-ils à leurs responsabilités sur la gestion de l’eau et plus précisément sur les désordres de la facturation ? Il ne s’agit pas d’un comportement politicien de droite ou de gauche mais de l’exercice de la responsabilité des élus de la République."
Que chacun exerce les responsabilités qui lui incombent et ou pour lesquelles il s'est engagé...alors confiance et optimisme reviendront...en 2014!