UNE PREMIERE ? La presse hebdomadaire au Pays des Olonnes (le Journal des Sables) ne rend pas compte du conseil municipal de Château d’Olonne du 27 novembre 2012 ni du Conseil Communautaire du 30 novembre 2012.
Comme nombre d’habitants du Pays des Olonnes, le jeudi, nous allons quérir notre Journal des Sables…comme nous le nommons alors qu’il se nomme Les Sables Vendée Journal.
Nous avons acheté notre hebdomadaire et feuilleté celui-ci.
Nous sommes revenus chez notre marchand de journaux pour en acheter un deuxième.
Le motif de cette folie dépensière, en période de crise, alors que l’État va diminuer nos retraites ?
Nous pensions que dans le premier journal acheté les comptes rendus du Conseil Municipal de Château d’Olonne (27 novembre) et celui de la Communauté de Communes (30 novembre) avaient été imprimés en encre sympathique et donc illisibles pour nous.
Fébrilement nous avons feuilleté le second "Les Sables Vendée Journal" de ce jeudi 6 décembre…pas plus de compte rendu.
Alors nous avons échafaudé des hypothèses :
- Manque de place,
- Événement dépassé traité par le confrère Ouest France (membre du m^me groupe de presse) ? mais d’habitude cela passait…
- Façon de marquer sa réserve pour ne froisser personne, en vertu que "dans le doute il vaut mieux s’abstenir. Doute sur les tenants et les aboutissants de débats qui n’eurent pas lieu…c’est vrai que faire part du manque de sens de la démocratie du Président de la CCO lors de ce Conseil Communautaire du 29 novembre n’est pas chose aisée. On n'ose imaginer que des pressions furent exercées sur la presse qui a assisté, comme tous les présents, à un triste spectacle à la CCO.
Mais, de là à escamoter un sujet aussi important que le devenir du TUSCO (transport urbain) où la CCO engage 13,5 millions d’euros. C’est certainement l’information la plus importante au Pays des Olonnes. Pas de compte rendu de cette réunion ni de celle du Conseil Municipal de Château d’Olonne, c’est certainement une première.
Vous savez : la nature a horreur du vide…ainsi, vous avez eu sur ce blog l’essentiel de ce qui a été décidé dans ces deux conseils dans nos articles mis en ligne ces derniers jours et, sans fard, nous pouvons dire avec l’objectivité que vous attendez de nous.
Pour ne pas attenter à la liberté des journalistes locaux nous ne leur demanderons pas le pourquoi de cette « omission »…s’ils ont quelque chose à dire…nos « colonnes » leur sont ouvertes.