Nous livrons à votre réflexion ce qui suit :
Nous avons fait état de propos véhéments tenus à l’égard de l’opposition par un adjoint lors du Conseil Municipal du 28 septembre 2008. voir DROIT D'EXISTER POUR L'OPPOSITION
Pour vous laisser, chers lecteurs, juges de ces propos nous espérions vous en communiquer l’intégralité. Mais malheureusement comme ils ne figurent pas au compte rendu du Conseil Municipal nous ne prendrons pas le risque de trahir son auteur en ne vous en donnant que des extraits approximatifs. Vous serez, chers lecteurs, privés de la lecture de cette intervention d'un conseiller .(sauf si l’intéressé, comme nous le lui avons proposé, nous les communique).
Nous nous sommes étonnés de cet « oubli » lors du Conseil Municipal du 28 octobre dernier.
Monsieur le Maire, pourquoi maintenant occulter ce que votre adjoint a dit avec votre assentiment ? Si cela est une juste colère à notre encontre la population a le droit de
savoir.
Monsieur le Maire, vous avez répondu que, conformément aux textes et au règlement intérieur, vous êtes libre de mettre au compte rendu ce que vous estimez nécessaire.
Alors, nous invoquons ces mêmes textes et le règlement intérieur pour vous demander pourquoi vous avez admis cette longue intervention de votre adjoint alors qu’elle ne figurait pas à l’ordre du jour ! Ceci est bien contraire aux textes et au règlement intérieur.
Monsieur le Maire, à travers cet exemple alors que vous vous déclarez « légaliste » , « jusqu’auboutiste » dans le dossier LUNA PARK, nous vous demandons d’être aussi légaliste et démocrate dans l’exercice de votre « pouvoir de police » lors de la tenue des Conseils Municipaux.