AVEC CORONAVIRUS, LA SOLIDARITÉ REVIENT AU PREMIER PLAN MAIS CE NE DOIT PAS ÊTRE SANS LENDEMAIN
Ce sacré virus va nous secouer ! et pas seulement physiquement.
Il va secouer nos certitudes.
Il va ébranler nos convictions, nos vies dans le confort ou dans la résignation.
Mais il va aussi nous apprendre :
à prioriser et respecter la sécurité de l'autre, à penser à l'autre,
à organiser le télétravail pour tous (ou presque) donc pour certains repenser son mode de travail et celui de ses proches,
à s'entraider,
à revisiter notre mode de vie et de consommation.
Nous allons être poussés à retrouver une solidarité naturelle, à revivifier le cocon familial, à nous interroger sur la petitesse de l'homme face aux fléaux naturels.
Par exemple, et en premier, nous serons plus solidaires et admiratifs pour le personnel soignant.
CORONAVIRUS VA NOUS SECOUER, FAISONS D'UN MAL UN BIEN
Il faut que cette secousse ne soit pas qu'un mal passager subi mais faisons en sorte qu'elle soit une source d'amélioration profonde de nos comportements par exemple et surtout dans le domaine de plus de solidarité : le voisin existe, la malheureux existe, le malade existe, la solitude existe...
Les gestes qu'on va nous obliger à faire, cette obligation subie, ces règles de vie imposées soudainement et brutalement doivent nous révéler la capacité humaine de s'adapter pour protéger la société. Il faut que cette capacité de soumission aux règles redonne à chacun la force de penser collectif pour vaincre cet ennemi commun CORONAVIRUS.
Souhaitons que cette triste aventure humaine soit souffle d'une réflexion positive pour plus de générosité et d'altruisme.
Ne faisons pas en sorte de vite oublier cette triste expérience et ses conséquences humaines, économiques et sociales mais au contraire faisons en sorte que l'homme citoyen sorte grandi par l'épreuve et par la prise de conscience de sa capacité à s'améliorer .