UNE MESURE PARTICULIÈREMENT MALVENUE, MAL EXPLIQUÉE...MÊME JUSTIFIÉE C'EST UNE MALADRESSE GROSSIÈRE, INCOMPRÉHENSIBLE
À SAVOIR : BUDGET DE L'ASSEMBLÉE NATIONALE : 570 MILLIONS D'EUROS ...soit 1 million d'euros par député !
Nous vous livrons ci-dessous en brut le texte de l'article paru le 18 octobre 2019 dans le
quotidien "20 minutes".
Il y a "peut-être" une justification à cette mesure mais elle n'apparait pas clairement ,
il y a peut-être un défaut de communication mais quand il est demandé aux français de se serrer la ceinture cette mesure sera logiquement mal perçue,
quand le gouvernement renonce à faire les économies sur les dépenses de l'État et que pour ne pas trop accroître la dette publique pour le budget 2020 il va laisser filer la dette et hypothéquer l'avenir du Pays,
une telle mesure que peut qu'accroître la profondeur du fossé qui sépare élus et citoyens. Le système parlementaire actuel ou ce qu'il en reste va en sortir encore plus affaibli.
Plus qu'une erreur UNE FAUTE !
Au nom de la défense de la démocratie, nous devons demander aux députés de renoncer à cette mesure ou de justifier sans ambiguïté son fondement .
Vous pouvez en savoir plus par Google "Assemblé Nationale"
"Fiche de synthèse n°17 : La situation matérielle du député"
"Dès novembre, la dotation d’hébergement des députés va être revue à la hausse, passant de 900 à 1 200 euros par mois. Cette mesure permettra de faire des économies sur les frais d’hôtel, selon un des questeurs à l'initiative de cette augmentation." !!!
"La dotation logement des députés va passer de 900 à 1.200 euros
APL L’Assemblée dit prendre en compte le coût des loyers à Paris, en constante augmentation, mais l’idée est aussi de faire des économies sur les frais d’hôtel
La dotation d’hébergement des députés et députées, qui permet de rembourser leurs dépenses de location à Paris, va être augmentée de 900 à 1.200 euros mensuels au 1er novembre mais pour faire des économies, a-t-on appris mardi de sources parlementaires. Le bureau de l’Assemblée, plus haute instance collégiale, a acté mercredi dernier cette hausse, « pour tenir compte du niveau élevé des loyers parisiens ».
Quelque 240 parlementaires disposent d’une possibilité de couchage dans leur bureau, 51 chambres sont en outre disponibles dans une résidence. Pour les députés et députées restantes, les nuitées d’hôtel peuvent être prises en charge partiellement ou bien, si un pied-à-terre est loué, ces frais peuvent être pris en charge sur justificatifs, via la dotation d’hébergement, devenue insuffisante.
Les collaborateurs et collaboratrices parlementaires voient rouge.
La dépense annuelle supplémentaire pour l’Assemblée s’élèvera « au minimum à 304.000 euros » mais le coût de la mesure pourrait être supérieur, plus du double, « de meilleures conditions de remboursement incitant davantage de députés et députées à opter pour ce type d’hébergement », soulignent les questeurs. La dotation d’hébergement des députés et députées, qui permet de rembourser leurs dépenses de location à Paris, va être augmentée de 900 à 1.200 euros mensuels au 1er novembre mais pour faire des économies, a-t-on appris mardi de sources parlementaires. Le bureau de l’Assemblée, plus haute instance collégiale, a acté mercredi dernier cette hausse, « pour tenir compte du niveau élevé des loyers parisiens ».
Quelque 240 parlementaires disposent d’une possibilité de couchage dans leur bureau, 51 chambres sont en outre disponibles dans une résidence. Pour les députés et députées restantes, les nuitées d’hôtel peuvent être prises en charge partiellement ou bien, si un pied-à-terre est loué, ces frais peuvent être pris en charge sur justificatifs, via la dotation d’hébergement, devenue insuffisante.
Les collaborateurs et collaboratrices parlementaires voient rouge
La dépense annuelle supplémentaire pour l’Assemblée s’élèvera « au minimum à 304.000 euros » mais le coût de la mesure pourrait être supérieur, plus du double, « de meilleures conditions de remboursement incitant davantage de députés et députées à opter pour ce type d’hébergement », soulignent les questeurs.
« Tiens, pourtant “y a pas d’argent” pour les collabs paraît-il… », a relevé le syndicat CFTC des collaborateurs parlementaires sur Twitter. « 1.200 euros ? C’est parfois le salaire que certains “généreux” députés accordent à leur collaborateurs… #Honteux », a tweeté Astrid Morne, du syndicat Unsa des collaborateurs.
Mais l’objectif est « d’intensifier les économies » sur le budget hôtellerie et, « à terme, de supprimer » ce budget, fait valoir dans un communiqué Florian Bachelier, premier questeur (LREM), engagé dans le « chantier prioritaire de rationalisation de dépense publique ». En 2017, l’Assemblée a réalisé 8,5 millions d’euros d’économies et en 2018, 25,2 millions, souligne-t-il."
À VOUS DE JUGER !