LE PARALLÉLISME ENTRE CES DEUX CHIFFRES EST UN PUR HASARD : D'AILLEURS LES PARALELLES NE SE RENCONTRENT QU'À L'INFINI
RÉPÉTONS-LE POURQUOI LE MAIRE DE CHÂTEAU D'OLONNE S'OBSTINE-T-IL À VOULOIR IMPOSER AUX DEUX AUTRES COMMUNES SŒURS CE PROJET QUE LA POPULATION DANS SA TRÈS, TRÈS GRANDE MAJORITÉ REJETTE.
PLUS LE PROJET EST CONNU DU PUBLIC PLUS IL EST AISÉ DE RECUEILLIR DES SIGNATURES CONTRE.
Certes, lors du recueil des signatures, on a trouvé quelques et très rares partisans du projet.
Bizarrement, on y retrouve des "obligés" du maire actuel Joël MERCIER et surtout de l'ex-maire. Au nom du clientélisme électoral, ces citoyens sont dans l'obligation de suivre les élus à qui ils sont redevables de petits privilèges et passe-droit.
Mais on rencontre cela malheureusement dans nombre de communes même si la morale n'y trouve pas son compte. (voir notre prochain article). Les électeurs cela s'achète sous tous les régimes. C'est la loi du genre.
Pour notre part, nous avions constaté déjà cela lors de la consultation sur la fusion en décembre 2016.
UNE CONSULTATION POPULAIRE SUR LE DÉVOIEMENT ? OU UN REPORT À TOUTE PHASE DÉCISIONNELLE EN 2019
Une consultation de la population concernée sur ce projet serait souhaitable et certainement édifiante.
Il faudrait que les élus de la majorité du maire JOËL MERCIER écoutent encore plus la population et disent franchement à leur maire : STOP À CE PROJET : PERSONNE N'EN VEUT !
Il faudrait que ces élus posent la question à leur maire : pourquoi donc cet entêtement ? Qui et quoi vous poussent à cette position suicidaire ?
S'il y a enquête publique, il y aura des débats publics...la position du maire et de ses quelques élus encore partisans du projet sera alors intenable. Songent-ils à cela ? Isabelle DOAT Adjointe au maire qui porte ce projet a fait un test à l’Assemblée Générale de la "Pironnière en Liberté". A-t-elle compris le message ?
Monsieur le maire, à quand une décision de report du projet en 2019 ?
S'il n'y a pas cette décision rapidement il vous faudra dévoiler les vraies raisons qui vous poussent à mener un combat où, vous et vos quelques partisans, partez perdants.
Alors ceux soyez-en certain ceux qui vous mènent à ce combat ne seront plus présents pour vous soutenir : "quand le bateau coule, les rats quittent le navire."