INVITATION OUVERTE À TOUS
UN DÉBAT NÉCESSAIRE : SAMEDI 24 MARS 2018 AUX SABLES D'OLONNE
L'ASSOCIATION "LA FACTURE D'EAU EST IMBUVABLE" LANCE UN CRI D'ALARME LORS D'UNE ASSEMBLÉE GÉNÉRALE EXTRAORDINAIRE
Entre des élus débordés, lointains, non concernés... et des Services Publics hautains, sans contrôles, sans contre pouvoir, l'usager des Services publics n'a -t-il plus que les droits de payer et de se taire ?
ENTRÉE LIBRE
IMPORTANT : DÉBAT PUBLIC SUR LES SERVICES PUBLICS
EAU, DÉCHETS EN VENDÉE
ASSEMBLÉE GÉNÉRALE EXTRAORDINAIRE DE LA « FACTURE D’EAU EST IMBUVABLE »
Cher(e) adhérent(e), chers amis,
L’Association est confrontée à une grave crise de fonctionnement et structurelle liée au fonctionnement des Services publics concernés.
Aussi, le Conseil d’Administration en date du 24 janvier 2018 (voir extrait du compte rendu de ce Conseil d’Administration ci-dessous a) a décidé de convoquer une Assemblée Générale EXTRAORDINAIRE ouverte au public qui se tiendra :
Le samedi 24 Mars 2018 15 heures |
Aux Sables d’Olonne, Salle Maurice Durand, Avenue de VERDUN derrière le musée de l’Abbaye Sainte Croix et le Commissariat de Police
ORDRE DU JOUR DE L’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE EXTRAORDINAIRE
À l’issue du débat L’ASSOCIATION doit décider si elle peut poursuivre son activité, et si oui, comment ?
- Décisions à prendre :
- Dissolution de l’Association (article 10 et 12 des statuts) ?
- Mise en sommeil de l’activité ?
- Poursuite de l’activité avec de nouveaux membres ?
- Autre solution proposée par l’Assemblée
Possibilité de transformer l’Assemblée Générale Extraordinaire en Assemblée Ordinaire pour l’élection de nouveaux membres du Conseil d’administration
Questions diverses
- Verre de l’amitié.
La facture d’eau est imbuvable
29, rue du vallon
85180 Château d’Olonne
02 51 96 90 26
contact@facturedeau.fr
EXTRAIT DU COMPTE RENDU DU CONSEIL D’ADMINISTRATION DU 24 JANVIER 2018
DEVENIR DE L’ASSOCIATION « La facture d’eau est imbuvable » avec l’évolution des délégations de services publics
« On constate donc que, dans les conditions actuelles tant au niveau de la structure Association qu’au niveau de l’organisation du Service Public de l’eau et du traitement des déchets, « La facture d’eau est imbuvable » ne peut poursuivre sa mission car l’Association, dans son mode de fonctionnement actuel, est impuissante : beaucoup d’énergie pour peu, voire pas de résultats.
L’Association n’a plus d’utilité donc plus de raison d’être sauf pour résoudre des problèmes ponctuels comme en 2013 sur le Pays des Olonnes et le Talmondais ou pour résoudre des problèmes personnels de quelques abonnés dans l’année.
Mais l’existence de l’Association, sa position et sa présence dans les Commissions Consultatives des Services Publics Locaux CCSPL sont certes des freins (théoriques) aux tentatives d’abus ou de négligences coupables des délégataires voire d’élus. Ainsi, l’Association assure une veille théorique sur VENDÉE EAU, sur les municipalités et communautés où elle est représentée.
Les recours contre des décisions jugées illégales auprès du préfet de la Vendée se heurtent à l’inertie du représentant de l’ÉTAT rendant tout recours contentieux quasiment impossible.
Nous constatons aussi que les élus qui siègent à Syndicat Départemental VENDÉE EAU ne peuvent jouer leur rôle de dirigeants effectifs du Syndicat Départemental et les élus locaux dans les CCSPL et dans les conseils communautaires ou municipaux n’assument absolument pas leurs responsabilités. Nous constatons aussi que quasiment aucun élu n’a pris connaissance des rapports annuels sur la gestion de l’eau que la collectivité doit approuver. Le budget de VENDÉE EAU est pourtant de 100 millions d’euros payés par
400 000 foyers vendéens et quelques consommateurs plus importants. Les problèmes de l’eau en VENDÉE, de la préservation de la réserve, des risques de pollution…mériteraient plus de mobilisation, de réflexions et de contrôle de la part des élus.
En fin de compte les délégataires (Véolia, Saur…) ont les mains libres. Ils ne rendent compte que très partiellement de leur gestion, ils ne respectent pas les termes des contrats de délégation de service public et notre Association ne peut que constater une situation anormale et attirer l’attention des élus sur cet état de fait. D’année en année, nous faisons les mêmes remarques inutilement dont collectivités et délégataires ne tiennent quasiment aucun compte.
On peut constater que nos collègues des Associations de défense des consommateurs doivent être dans le même état d’esprit puisqu’ils brillent par leur absence dans ces CCSPL. »