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5 juillet 2016 2 05 /07 /juillet /2016 14:28
Stop aux guerres de clochers : soyons intelligents et travaillons à ce qui nous unit

Stop aux guerres de clochers : soyons intelligents et travaillons à ce qui nous unit

PRÉSENTATION D'UNE SYNTHÈSE SUR LE PROJET D'UNE FUSION DES COMMUNES AU PAYS DES OLONNES FAITE PAR UNE "MÉMOIRE" DE CE PAYS

 

Suite de

http://www.olonnes.com/2016/07/memoire-sur-la-fusion-au-pays-d-olonne-suite-1.html

 

ANNÉES 90, CHÂTEAU D'OLONNE S'INSTALLE DANS L'ANTI FUSIONNISME : L'INTERCOMMUNALITÉ DEVIENT UN BARRAGE, UN REMPART CONTRE LA FUSION

 

Mais, pour autant, la position de la municipalité castelolonnaise dans l'intercommunalité reste ferme et totalement opposée à la fusion.

Un nouveau coup de théâtre va se produire en 1989.

Pour des raisons restées obscures, Jacques Le Bel est à son tour mis en minorité par une équipe dissidente et contraint à quitter son poste.

Alors qu'on s'attendait à voir Jean David lui succéder, le choix se portera finalement sur Jean-Yves Burnaud, autre enfant du Château, un anti-fusionniste viscéral adepte de la négociation en position de force au détriment du gagnant/gagnant dans lequel pourtant, le « petit » récolte le profit le plus important dans une fusion quelle qu'elle soit.

Il va se faire le « chantre » du renforcement de l'intercommunalité pour s'opposer à toute tentative d'intrusion des voisins.

Pour combien de temps ???

Les événements semblent donner raison à Jean-Yves Burnaud.

En 1994, sous la houlette de Louis Guédon qui en assume la présidence, la communauté de communes qui vient d'être créée (C.C.O.) adopte le principe du compromis grâce à représentation politique équilibrée.

Une majorité sablaise de droite avec un président « à vie », une majorité olonnaise de gauche soucieuse d'un pouvoir partagé, et une majorité de droite castelolonnaise également favorable au partage des pouvoirs et convaincue de l'arme suprême constituée par l'intercommunalité pour éviter la fusion.

 

L'opposition se limite le plus souvent dans les votes aux bulletins des seuls représentants fusionnistes ultra minoritaires (1 ou 2 représentants). Les budgets sont votés à la quasi unanimité et on se prend à croire que les choses peuvent durer ainsi longtemps. Un slogan très répandu dans les couloirs : « Louis Guédon « boit du petit lait ».

 

FIN DU PREMIER ACTE

 

À SUIVRE...2ème acte du « Vivre-Ensemble » 

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