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22 décembre 2017 5 22 /12 /décembre /2017 18:35
LE PROJET TEL QUE L'A PRÉSENTÉ LA MUNICIPALITÉ CASTELOLONNAISE

LE PROJET TEL QUE L'A PRÉSENTÉ LA MUNICIPALITÉ CASTELOLONNAISE

MISE AU POINT ET MISE EN GARDE CONTRE LA DÉSINFORMATION SUR LE PROJET DE FERMETURE ET LE  DÉPLACEMENT DE LA ROUTE LITTORALE À CHÂTEAU D'OLONNE

 

La Municipalité de Château d'Olonne panique devant la bronca et les interrogations des castelolonnais sur le projet. Elle use de tous les moyens pour le faire passer y compris celui de se servir de la presse et d'en abuser pour désinformer.

Nous pensons qu'il serait plus sage pour la Municipalité castelolonnaise de prendre en considération l’opinion et  les avis de la population au lieu de foncer tête baissée dans le parapet de l'Anse de la Parée.

 

NOUS TENONS À METTRE EN GARDE LES CITOYENS CASTELOLONNAIS ET PLUS LARGEMENT TOUTES LES PERSONNES QUI SE SENTENT CONCERNÉES.

LE CONSEIL MUNICIPAL CASTELOLONNAIS N'A JAMAIS DONNÉ SON ACCORD SUR CE PROJET

Il n'y a jamais eu de vote en Conseil Municipal sur le projet de fermeture et de détournement de le Route Littorale. Il n'y a même pas eu un accord sur l'avant avant projet d'études LITTORAL 3

Madame Isabelle DOAT devrait relire la délibération qu'elle invoque pour parler d'un accord des élus sur le projet.

Conseil Municipal du 30 juillet 2013

Le titre de la délibération est sans ambiguïté : il ne s’agit pas d’approuver un projet

L’objet de la délibération était : AMENAGEMENT DU LITTORAL –3EMETRANCHEDEPOT DU DOSSIER À LA COMMISSION DEPARTEMENTALE DES SITES

 

Il n’est nullement question d’un projet ficelé soumis à l’approbation du Conseil Municipal mais de la préparation du dossier LITTORAL 3 suite logique de LITTORAL 1 et 2

La décision prise en ce Conseil Municipal du 30 juillet 2013 est claire et encore consultable

« Après en avoir délibéré, Le Conseil Municipal, A l’unanimité,

Décide :

1°) - d’acter le point d’avancement du projet et d’accepter le principe d’aménagement présenté en réunion le 9 janvier 2013.

2°) - d’autoriser le dépôt d’un dossier en commission départementale des sites sur la base de ce principe.

3°) - d’approuver la poursuite de l’avancement de ce projet, en lien avec les différents partenaires de l’opération (Etat, DREAL, Conservatoire du Littoral

, Conseil Général,...).

4°) - d’autoriser Monsieur le Maire à signer tout document en lien avec ce projet. »

Autoriser la poursuite des études d'un projet n' a jamais voulu dire autoriser le projet !

Oui, tous les élus étaient d’accord pour poursuivre les études. Mais c’est tout. Il n’est nullement question de l’approbation d’un projet ni même d’un pré projet.

Affirmer le contraire c’est travestir la vérité et tromper les citoyens.

D'ailleurs; le sous-titre du journal des sables de ce jeudi 21 décembre ...ne parle pas de décision du Conseil Municipal mais stipule " Un dévoiement évoqué en 2013 "..."évoqué"...ce n'était donc pas une décision ! "dont acte" comme dit le Maire et il faudrait que son adjointe prenne les mêmes précautions oratoires pour éviter de répandre des informations fausses? De plu,s cet article "interview" du Journal des Sables n'est pas signé, Mais de qui émane-t-il donc ?.

 

AUTRES INFORMATIONS : AFFAIRES EN COURS, BUDGET

Le Conservatoire du Littoral (organisme public) n'a pas statué sur le projet (puisque celui-ci n'est pas finalisé) et il n'a donc pas pu prendre parti particulièrement sur la fermeture de la route ni même à ce jour sur l'échange de terrains pour les parkings au  niveau de l'ESTRAN ex PIERRE ET VACANCES.

D'ailleurs, le maire dans une déclaration à la presse commence à jouer la prudence puisqu'il dit "le tracé de la route au plus près du Puits d'enfer n'est pas encore défini"...

si le tracé n'est pas défini comment se fait-il qu'il y ait un chiffrage du coût de cette route ?

Il n'y a peut-être pas que la route qui soit dévoyée !

 

Un budget global de 5,5 millions d'euros. C'est ce qu'a annoncé le maire qui exclut déjà l'impact des travaux sur la station de l’émissaire en mer. Le chiffre global est public mais son détail ne l'est pas...puisque le projet est loin d'avoir sa présentation définitive !

 

 

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23 septembre 2017 6 23 /09 /septembre /2017 09:27

UN PROJET TRÈS CONTESTABLE ET FORTEMENT CONTESTÉ...ET ENCORE ON NE VOUS DIT PAS TOUT

Contre vents violents et fortes marées de contestation, le maire annonce que le projet se réalisera.

Voir explications et pétition sur

http://www.olonnes.com/2017/08/pays-des-olonnes-contre-un-projet-castelolonnais-couteux-inutile-et-nefaste.html

La mobilisation POUR ou CONTRE doit se faire et la décision doit appartenir démocratiquement aux habitants. Les discours du maire Joël MERCIER et de son adjointe Isabelle DOAT aux opposants et à ceux qui s'interrogent sont indécents et inappropriés : dites ce que vous voulez, mais de toute façon, le projet se fera ! 

Il faut un vrai débat et pourquoi pas une consultation de la population ? Les castelolonnais sont fatigués des initiatives coûteuses de leur municipalité : Gargamoelle, la salle inutile et quasiment  inutilisable, la nouvelle mairie et maintenant le littoral (prévision du coût entre 4 et 6 millions d'euros !)

 

CI-DESSOUS LE POINT DE VUE CRITIQUE ET INTERROGATEUR DE L'ANCIEN MAIRE ADJOINT DE CHÂTEAU D'OLONNE JOE FESSEAU

PUBLIÉ PAR LE JOURNAL DES SABLES 21 SEPTEMBRE 2017

PUBLIÉ PAR LE JOURNAL DES SABLES 21 SEPTEMBRE 2017

LE POINT DE VUE DU MAIRE SUR LE SITE DE LA MAIRIE

sur site mairie

http://www.lechateaudolonne.fr/actualites/2500-dunes-du-puits-d-enfer-la-restauration-ecologique-en-quatre-questions-reponses.html

 

Propriété du Conservatoire du littoral, le site de l'ancien circuit automobile du Puits d'Enfer est désormais protégé. À terme, un aménagement durable valorisera ce site comme il le mérite en mettant la route littorale à l'écart de l'érosion du trait de côte.

 
Quelle est la valeur écologique du site ?

Classé Natura 2000, le site est riche de 77 espèces patrimoniales en faune et en flore comme l'Engoulevent d'Europe, le Pipit farlouse, la Linaire des Sables et la Silène des ports. Ces espèces sont protégées par de nombreuses réglementations.

 

Est-il concerné par les problèmes d'érosion et d'autres risques littoraux ?

La commune est bien sûr concernée par l'érosion globale du trait de côte. Plus particulièrement, les simulations réalisées par le Bureau de recherches géologiques et minières (Brgm), organisme public national, montrent de manière incontestable un recul du trait de côte sur une grande partie de l'emprise du projet littoral dans les prochaines décennies. Par ailleurs, dans le cadre du Plan de prévention des risques littoraux (Pprl), l'Anse de la Parée, notamment, est classée en « aléa choc mécanique » (lié aux paquets de mer). Depuis quinze ans déjà, la route littorale est, en moyenne, fermée une dizaine de fois par an lors d'événements tempétueux. Ces fermetures sont désormais obligatoires dès que la Ville reçoit une alerte orange "submersion marine".

 

Qu'est-il prévu exactement ?

Le projet de l'aménagement du littoral concerne 60 hectares. Ces derniers mois, les 23 ha de l'ancien circuit automobile ont été nettoyés et les bâtiments ont été démolis. L'objectif est de recréer un espace naturel dunaire d'un seul tenant et de donner à découvrir toute la partie arrière boisée et bocagère. Comment ? En le rendant accessible à la découverte par le public grâce à des sentiers piétons et des pistes cyclables. Pour que le projet soit pertinent et durable, la Ville et ses partenaires, le Conservatoire du littoral et le Département, ont prévu de dévier la route entre le bas de la rue du Puits d'Enfer et la route départementale au niveau de l'abbaye en s'appuyant sur la rue du Fief Saint-Jean. En aucun cas, cette voie nouvelle ne passera par la rue de la République ni dans les petites rues du quartier de la Pironnière.

 

Pourquoi ce projet ?

La Ville s'est intéressée à l'état de santé de son littoral dès 2001. Un diagnostic réalisé sur l'ensemble des 5 km a mis en exergue la nécessité de protéger les hauts de falaise par une canalisation raisonnée du public et une restauration des espaces naturels. Après les aménagements réalisés entre Tanchet et le Puits d'Enfer puis entre l'Anse aux Moines à Cayola, il restait à engager la restauration de la partie centrale qui est aussi la plus vaste. Les premières études sur ce « chaînon manquant » ont débuté en 2011 malgré l'absence de maîtrise foncière de l'ensemble.

Avec l'acquisition par le Conservatoire du littoral de l'ancien circuit et du haut de falaise attenant, la situation s'est débloquée en 2015 et ce grand projet d'intérêt général a pu enfin entrer dans une phase pré-opérationnelle. L'Union européenne, à travers le Fonds européen de développement économique et régional (FEDER), la Région des Pays de la Loire, le Département de la Vendée et l'Agence de l'eau Loire-Bretagne seront les partenaires financiers de la Ville dans ce projet. L'enjeu est majeur car il s'agit de créer demain un site naturel préservé, ouvert à tous, aux portes de l'espace urbanisé que constituera la grande ville des Sables d'Olonne.

 

LE PROJET DE CHÂTEAU D'OLONNE DE DÉVOYER (DÉVIER) LA ROUTE LITTORALE FAIT DES VAGUES
LE PROJET DE CHÂTEAU D'OLONNE DE DÉVOYER (DÉVIER) LA ROUTE LITTORALE FAIT DES VAGUES
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