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24 octobre 2021 7 24 /10 /octobre /2021 20:20
DES PROMESSES, DES ENGAGEMENTS QUI NE SONT PAS TENUS

DES PROMESSES, DES ENGAGEMENTS QUI NE SONT PAS TENUS

 

QUI VEUT 100 EUROS ? OU COMMENT UN PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE PEUT ÊTRE DESTITUÉ, PASSIBLE DE LA HAUTE COUR...

 

UNE INJURE FAITE AUX CITOYENS, UNE OPÉRATION IMMORALE

Cent euros, c’est pas cher payer l’achat d’une voix pour les prochaines élections.

Avec ce tarif, le Président MACRON et « son » gouvernement bradent la citoyenneté.

Pourtant, la promesse faite par le candidat MACRON était claire : «je veux moraliser et responsabiliser la vie publique », (page 5 de son programme).

Cette proposition faite en période préélectorale ne correspond pas à un engagement de moraliser la vie publique. Il y avait bien d’autres moyens de « compenser » la perte du pouvoir d’achat des français occasionnée avec les hausses des carburants, du gaz, de l’électricité...

Avec ce don d’argent public fait aux électeurs pendant la période préélectorale, il est fait peu de crédit au principe du libre choix du citoyen électeur et à la démocratie. La France n’est pas encore une république bananière ni une dictature soviétique ou autre.

Quelle décadence, quelle misère pour le citoyen rabaissé au rang de marchandise bassement achetable.

 

ET LA LIMITATION DES FRAIS DE CAMPAGNE ?

Si le Président en titre et encore en place se représente aux prochaines élections présidentielles du 10 avril ces 100 euros distribués à soi-disant 35 millions de français devront-ils être comptabilisés dans les comptes de campagne du futur candidat ? Et comment ?

Certes, ce n’est pas avec SON argent personnel versé sur son compte de campagne que le candidat fera ce don aux électeurs en décembre 2021 et janvier 2022. Si le Parlement accepte cette supercherie, ce seront alors des fonds publics, des fonds tirés des poches des contribuables. Des fonds qui n'ont pas leur place dans des comptes de campagne électorale.

Mais, comment justifier dans les comptes de campagne cette dépense qui est un « don » fait aux électeurs ?

Il appartiendra aux juridictions suprêmes Conseil d’État, Conseil Constitutionnel, Haute Cour de qualifier ce « don » ?

Si jamais le candidat doit intégrer en recettes et ou en dépenses dans ces comptes de campagne ces  « dons » les frais de campagne seront plombés et l’élection annulée ou pire. Le candidat ferait donc mieux de faire comme le Président HOLLANDE...ne pas se représenter.

 

POUR DES CANDIDATS SÉRIEUX ET HONNÊTES

Plus sérieusement : aura-t-on droit, en 2022,  pour ces élections à des candidats sérieux présentant des programmes pour la France qui ne soient pas cousus de promesses intenables, mais qui permettent des élections dignes d’une démocratie à la française ?

 

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