LES DEUX SYMBOLES QUI ILLUSTRENT LA SITUATION À CHÂTEAU D'OLONNE : UNE MAJORITÉ MUNICIPALE EN COURS DE DÉCONSTRUCTION, UNE NOUVELLE MAIRIE QUE LES CASTELOLONNAIS N'AIMENT PAS
LA DÉMOCRATIE EN PANNE : le mensonge ne paye plus, n'ayons pas peur des mots et donnons aux citoyens une explication claire et incontestable sur la position du maire et de son adjointe Isabelle DOAT sur la FUSION. QUESTIONNONS-LE.
Monsieur le maire, déclarez-vous favorable à la FUSION et êtes-vous prêt à en parler aux deux autres maires sans poser des conditions préalables qui peuvent être inacceptables par ceux-ci et conduire à l'échec de la FUSION ESPÉRÉE PAR VOS CONCITOYENS ?
Monsieur le maire, ressouder votre majorité en répondant OUI à la question ci-dessus.
Il faut une explication publique. Nous attendons la réponse du maire pour la publier.
Le mensonge, l'embrouille ne payent plus. N'ayons pas peur des mots et donnons aux citoyens et peut-être aussi à certains élus, une explication claire et incontestable sur la valse autour de la FUSION.
Nos lecteurs ne sont pas étonnés, depuis des mois, nous le disions : des bruits fondés et aujourd'hui un raz de marée d'informations concordantes. La cohésion de la majorité municipale ne pourra résister aux diktats et coups bas et fourrés du maire et de son mentor Jean-Yves BURNAUD.
1) Un maire Joël MERCIER et sa majorité élus en 2014 sur la base d'un mensonge : sur la seconde partie de sa campagne électorale, le maire actuel s'est déclaré brusquement favorable à la FUSION des 3 communes mais simplement pour être élu à la succession de Jean-Yves BURNAUD, pas pour réaliser la FUSION qu'il promettait quand même..
Nous avions noté que, lors du début de sa campagne électorale Joël MERCIER gardait le silence sur son anti fusionnisme. Il n' a pu tenir cette position qui lui faisait perdre "sa" mairie convoitée et s'est déclaré fusionniste sous conditions. En réalité, Joël MERCIER élu sur la base d'une équivoque n'est que la marionnette de l'ancien maire Jean-Yves BURNAUD viscéralement anti-fusionniste qui règne en maître encore dans la mairie.
Nous ne pouvons que regretter cette situation et les honneurs rendus à son élu maire honoraire Jean-Yves BURNAUD que la justice a rattrapé en lui infligeant un rappel à la loi pour prise illégale d'intérêt et dont la Cour des Comptes a sanctionné gravement la gestion dont il faudra bien parler publiquement un jour.(voir
2) Les vraies raisons de l'échec actuel de la fusion des 3 communes. Maintenant le voile est levé. C'est la mauvaise volonté et les mauvaises manières du maire de Château d'Olonne qui, poussé par Jean-Yves BIURNAUD, a été non un partenaire mais un adversaire des deux autres maires : pas de réponse aux invitations de réunion, sabotage de l'ambiance par des déclarations à la presse à la limite de la correction...Il s'est rendu insupportable...pour gagner du temps et surtout pour rendre la fusion à 3 impossible.
3) Le réveil de la population castelolonnaise et des élus de la majorité...suite à la pétition lancée par notre association CACO le maire et sa majorité furent contraints de se poser les vraies questions. On a promis une consultation à mi mandat, les citoyens la demandent, que faire ?. Cela a abouti au projet de consultation des castelolonnais prévue pour ce 11 décembre : sur la question OUI ou NON à la FUSION . Puis le débat a été brouillé sciemment et vicieusement par deux questions annexes qui sont du ressort d'une décision municipale et non d'une consultation-référendum. Le Maire triche encore mais la population castelolonnaise n'est plus dupe. Certains élus ont compris et sont prêts à jouer le jeu pour obtenir une vraie fusion pour laquelle ils ont été élus.
4) Des irrégularités graves dans la gestion municipale que le maire qualifie d'exemplaire. l'équipe municipale et particulièrement le maire adjoint chargé des finances à l'époque (2008/2014)traînent un boulet : le rapport de la cour des comptes (Chambre Régionale des Comptes) qui met en cause la gestion des marchés publics . En plus de diverses irrégularités relevées le rapport final met en relief que13 millions d'euros de marchés publics, particulièrement en voirie, ont été passés de manière irrégulière...et que le contrôle n'a pu s'achever car les dossiers se sont envolés, disparus !
Les élus et les citoyens ont découvert cela alors que la Cour des Comptes avait déjà signalé ce type d'irrégularité dans son rapport précédent. Des élus honnêtes et un peu plus consciencieux que la moyenne commencèrent à se poser aussi des questions et à en poser : on leur aurait mentti sur la fusion, sur les rapports avec les deux autres maires, sur les comptes de la commune...Où va-t-on?
5) Une campagne pour le vote du 11 décembre où seul le maire se donne des moyens (avec l'argent du contribuable) et en plus utilise illégalement les moyens de la mairie (sur le site internet de la mairie, encarté dans le bulletin municipal, documents...qui ne sont pas "neutres"). Il refuse une salle à son adjointe la sénatrice Annick BILLOn.
6) Les élus et les citoyens commencent à comprendre les motivations du rejet de la FUSION par le maire de Château d'Olonne.
Pour le maire, NON À LA FUSION OU SON ÉCHEC est motivé ainsi :
- IL S'AGIT SIMPLEMENT DE SAUVER UN SYSTÈME,
- Il FAUT QUE LA VILLE DE CHÂTEAU D'OLONNE CONTINUE À ÊTRE GÉRÉE PAR LES MÊMES POUR LE BÉNÉFICE DE CERTAINS,
- IL NE FAUT PAS QU'EN CAS DE FUSION DES ÉLUS NOUVEAUX ET CURIEUX CHERCHENT À APPROFONDIR LES DOSSIERS QUI NE SONT PAS CLAIRS EN MATIÈRE DE MARCHÉS, DE GESTION DE PERSONNEL....(voir rapports de la Chambre Régionale des Comptes)
- IL FAUT PROLONGER AU MOINS JUSQU'À 2020 LA GESTION DE CHÂTEAU D'OLONNE.
TOUT CELA ÉTAIT ÉCRIT QUAND LA DÉCISION D'ÉDIFIER UNE NOUVELLE MAIRIE EN 2010 A ÉTÉ PRISE : CE BÂTIMENT SIGNE LE "NON, Á LA FUSION" ESPÉRÉ PAR LE MAIRE ET SA VOLONTÉ DE VOIR LA FUSION ÉCHOUER.
LE 11 DÉCEMBRE, ALLEZ VOTER, DITES "OUI, À LA FUSION" massivement