C'était en juin 2009 salle PLISSONNEAU à Château d'Olonne : le maire Jean-Yves BURNAUD présente l'étude sur la fusion avant la consultation annoncée des habotants du pays d'Olone
JEAN-YVES BURNAUD, ANCIEN MAIRE DE CHÂTEAU D'OLONNE, POUSSÉ PAR LES FORCES DU MAL, REVIENT MALENCONTREUSEMENT SUR LA PLACE PUBLIQUE
Décidément les mauvaises habitudes se prennent vite.
Toutes les semaines, les élus actuels et anciens de la majorité municipale de Château d'Olonne occupent une large place dans la presse locale.
Cette fois, c'est l'ancien maire de Château d'Olonne, Jean-Yves BURNAUD, qui "revient "à la une du Journal des Sables (courrier des lecteurs) . Mais est-il vraiment parti ? C'est la question d'ailleurs que tous les élus, le personnel de la commune et nombre de citoyens se posent aussi. Son propos partiel et partial nous oblige à une sérieuse mise au point. Il faut que les citoyens sachent.
Ses attaques visent son ancien adjoint à la culture Joë FESSEAU.
Nous ne sommes pas là pour assumer la défense de ce fidèle serviteur de Jean-Yves BURNAUD mais simplement, nous devons montrer aux habitants du Pays d'Olonne et d'ailleurs les pratiques condamnables d'élus qui tuent la démocratie locale. Ces pratiques creusent le fossé entre élus et citoyens ouvrant la voie à toute ses aventures.
Il nous faut d'abord rappeler la gestion par l'ancien maire des dossiers de la mairie et particulièrement celui de la fusion dans les années 2008 et suivantes.
CONSULTATION DES 3 COMMUNES EN NOVEMBRE 2009
L’ANCIEN MAIRE AVOUE SA MANŒUVRE : IL A FAIT CAMPAGNE POUR LA FUSION AVEC SES COLLÈGUES DES DEUX AUTRES COMMUNES PUIS Il A FAIT CAPOTER LA CONSULTATION...TOUT EN PROMETTANT UNE CONSULTATION QU'IL N'A JAMAIS ORGANISÉE !
Monsieur Jean-Yves BURNAUD écrit dans son courrier aux lecteurs du Journal des Sables que ce fut dans le bulletin municipal CASTEL INFO (de novembre 2009, en dernière page) qu’apparaissait officiellement l’idée d’une consultation des castelolonnais au printemps 2010 alors que les deux autres communes organisaient cette consultation en novembre 2009.
Jean-Yves BURNAUD aurait dû faire référence, dans son courrier des lecteurs, non au bulletin municipal de novembre 2009 mais à la décision qui fut prise en Conseil Municipal du 22 septembre 2009 et qui fixait à la date de « fin avril 2010 après les élections régionales ».la fameuse consultation des castelolonnais que ceux-ci, en 2016, attendent toujours : encore une promesse de Jean-Yves BURNAUD et de son équipe qui ne fut pas tenue.
Étrange, aussi, cette attitude de Monsieur Jean-Yves BURNAUD (voir photo ci-dessus) qui, en 2009, a été présent à toutes les réunions publiques organisées pour présenter l'étude sur la fusion, attestant ainsi publiquement de son adhésion à la démarche fusion des 3 communes, et; qui, soudain, soulève le fameux faux problème d’un potentiel désaccord avec ses collègues sur la date de consultation.
Pour nous, donc en 2016, on retrouve du COPIER COLLER de la manoeuvre de 2009 où tout est fait pour retarder voire empêcher toute consultation et toute fusion.
Quelle ruse, pour cet anti fusionniste viscéral qu'est Jean-Yves BURNAUD, qui ainsi a trompé ses électeurs et même les élus de sa propre majorité.
Tiens, comme par hasard, en 2015, 2016, le maire actuel a ressorti ce même problème pour retarder sans cesse une éventuelle consultation promise à ses électeurs.
Mais Joël MERCIER, successeur de Jean-Yves BURNAUD est moins rusé que son maître. En effet, il n’arrive même plus à tromper ses élus qui se rebellent.(voir Ouest France du 1er septembre 2016). Il a ainsi dû une concéder un projet de consultation des castelolonnais le 11 décembre prochain.
Ce qui est intéressant dans le propos de Jean-Yves BURNAUD c’est qu’ainsi, il confirme, s’il en était besoin, qu’en 2009, c’est sa stratégie personnelle qui lui a permis de faire capoter la consultation et qu’ainsi il restait le maître chez lui malgré une gestion fortement mise en cause et malgré le fait qu’il isolait Château d’Olonne désormais réduite à une ville-dortoir sans avenir.
Les petits intérêts personnels l’emportaient sur l’intérêt général représentée par la consultation de 2009 et ses conséquences sur le territoire.
Notons qu’il va même trop loin dans sa menterie quand, au sujet de la consultation de 2009, il écrit « Refus des olonnais à une très grande majorité ». Il prend ses désirs pour de la réalité et veut encore tromper les citoyens.
Rappelons à Monsieur Jean-Yves BURNAUD que le NON à Olonne-sur-Mer l’a certes emporté avec 65 % des votants soit avec 3 100 votes CONTRE la fusion sur 11 000 inscrits.
Cela fait une minorité 28 % d'électeurs olonnais à l'époque contre la fusion. Ce n'est pas une victoire du NON à la fusion sauf pour Jean-Yves BURNAUD qui veut tromper les citoyens. 28 % : nous sommes désolés cela ne fait pas une grande majorité...sauf pour Jean-Yves BURNAUD !
Yannick MOREAU en 2014, candidat fusionniste déclaré, est élu maire d'Olonne-sur-Mer, au premier tour, avec près de 4 500 voix sur 7 100 votants. Sa liste avait contre elle 2 listes d'opposants.
D’ailleurs, ce taux de participation à cette consultation de 2009 fut si faible à Olonne-sur-Mer qu'en 2009, le total des votes pour la fusion "OUI à la fusion" pour les Communes des Sables d’Olonne et d’Olonne-sur-Mer a été majoritaire !...malgré une forte campagne mensongère à Olonne-sur-Mer sur les pseudo-dangers de la fusion.
A SUIVRE...