L'usine à cochons de POIROUX EN VENDEE, même si elle se construit malgré les recours, n'en demeure pas moins le souci de toute une population face particulièrement à deux problèmes spécifiques de cette installation :

1) elle est située sur un site de 7 sources dont celles qui alimentent les marais de la côte proche, le cours d'eau la VERTONNE... ; la retenue de Finfarine qui alimente le littoral est polluée depuis des années et cela ne s'améliorera pas avec la proximité de cette porcherie industrielle...

2) ces 23 000 porcelets annuels doivent être engraissés ... on ne sait où . Mais ce sera certainement à proximité de l'usine venant générer  de nouveaux sites qui seront sources de pollutions...en plus de celles de l'usine dite maternité.

Problème : la pollution principale de ces installations provient du lisier qu'il faut épandre selon des normes soi-disant strictes. Les conditions d'épandage dans ce dossier ne sont pas claires...attendons le réponse préfectorale sur les conditions d'épandage.

Des garanties et clarifications : c'est ce que les manifestants sont venus demander gentiment au préfet en marge d'une inauguration de la nouvelle école de POIROUX.(voir le compte rendu ci-dessous).

Il est regrettable que l'annonce tardive de cette inauguration n'ait pas permis aux vendéens mobilisés de venir en nombre présenter leurs doléances et interrogations sur l'usine à cochons.

Enfin des porcheries industrielles en période de crise de l'élevage est-ce sérieux ? Est-ce ce type de productions que le consommateur désire ?