Nous espérons que la presse avec ses moyens aura à cœur de mieux informer ses lecteurs avec plus de précisions par exemple sur l’incident grave de la "disparition" de la route sur le littoral à Cayola.(commune de Château d’Olonne en VENDÉE).
Minimiser les dégâts, ne pas analyser le pourquoi et le comment pour informer, ne pas informer sur les constations et préconisations des professionnels qui ont examiné depuis la tempête de janvier les risques, n’est-ce pas courir le risque de l'accusation de désinformayion..
C’est dommage de devoir ainsi mettre la presse face à ses responsabilités : les réseaux sociaux vont-ils désormais prendre encore plus de place dans l’information au détriment de la presse et de ses professionnels ?
Cette situation est regrettable, navrante, suicidaire…
S’il fallait une preuve supplémentaire des déficiences de la presse nous prendrions les exemples des comptes rendus de conseils municipaux et communautaires tronqués, du black out organisé pour ne plus parler du problème des factures d’eau au Pays d’Olonne, de la division par deux du nombre de « manifestants » devant le tribunal de la Roche …dommage !
Si la presse ne comprend pas elle court un grave danger. Si elle n’est pas neutre, équitable…dans le débat des municipales elle payera très cher sa partialité comme ce fut le cas lors de précédentes consultations.
À vous tous journalistes nous vous demandons depuis notre petite place de ne pas céder aux pressions car vous céderiez ainsi votre fond de commerce et vos clients lecteurs et annonceurs.
Nous avons besoin d’une presse écrite ouverte, libre, crédible, de journalistes qui puissent travailler sereinement en toute liberté…pour être dignes d’être lus, appréciés, admirés.