NON AU DÉVOIEMENT DE LA ROUTE LITTORALE
SABLAIS VOTEZ TOUS LE 23 JUIN 2019
EELV LES VERTS SE TROMPENT ET VEULENT TROMPER
Pour Claudine Goichon, coordinatrice EELV-Vendée, la renaturation du secteur du Puits d’Enfer tout comme la délocalisation de la route littorale, sont des projets d’utilité publique.
QUE SIGNIFIE "UTILITÉ PUBLIQUE" POUR LES ÉCOLOGISTES VENDÉENS ?
Effectivement, si on entend que "utilité publique" signifie massacre de l’environnement et abandon éventuel et inutile d'un secteur remarquable au profit des spéculations foncières et immobilières EELV les Verts se doit de cautionner. Cela au détriment de l'environnement à protéger.
Au moment où le monde se mobilise pour défendre ses forêts, où la Chine même se propose de planter des millions d'arbres, Madagascar...les écologistes professionnels et parfois politiques sont maintenant en VENDÉE favorables à la déforestation, au massacre de la faune et de la flore locale !
L'AUTORITÉ ENVIRONNEMENTALE Ae (MINISTÈRE DE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE ET SOLIDAIRE) ATTIRE L'ATTENTION SUR LES RISQUES ENVIRONNEMENTAUX ENGENDRÉS PAR LE PROJET DE L'ANCIEN MAIRE DE CHÂTEAU D'OLONNE JOËL MERCIER
Mais, maintenant ,avec l'avis délibéré N° 2019/04 du 3 avril 2019 de "l'Autorité environnementale" il n'y plus de place pour le doute sur les risques environnementaux que fait courir le projet de dévoiement de la route littorale.
D'une part, nous constatons que ce rapport met bien en avant les risques graves d'atteinte à l’environnement qui touchent 5,6 hectares de "milieux humides et boisés" et la zone Natura 2000,
D'autre part, ce rapport, page 16, stipule que la fermeture de la route littorale et son dévoiement ne sont pas neutres :
"des impacts sont présents, l'effet positif de la suppression de la route littorale étant contrarié par la création d'une voie de circulation au sein du site .
Cette voirie crée un effet de fragmentation des milieux, un risque de collision avec la faune et des pollutions...elle implique la nécessité d'obtenir une dérogation à la réglementation sur les espèces protégées."
À ces risques et dommages, il faut, bien sûr, ajouter l'impact sur la circulation, sur le tourisme, sur le site protégé de l'Abbaye Romane de Saint Jean d'Orbestier...et un coût exorbitant que les auteurs du projet ont occulté.