POURQUOI FAUT-IL ENCORE RÉPÉTER CERTAINES VÉRITÉS DÉSAGRÉABLES POUR QUE L'ANCIEN MAIRE DE CHÂTEAU D'OLONNE DISQUALIFIÉ, MAUVAIS PERDANT, COMPRENNE QU'IL FAUT RETROUVER LE SILENCE DE LA DIGNITÉ ?
PREMIÈRE MISE AU POINT : LE DOSSIER LITTORAL DÉVOIEMENT DE LA ROUTE LITTORAL MONTÉ PAR JOËL MERCIER ET SON ADJOINTE ÉTAIT POURRI
Passons vite sur le fait qu'Ouest France avec complaisance publie dans un article non signé les propos de l'ancien maire de Château d'Olonne qui dit ceci de son collègue de Talmont-Saint-Hilaire "la conviction de Maxence de Rugy aurait-elle fondu plus vite que la calotte glaciaire ?"
Par ce langage l'ancien maire de Château d'Olonne dévoile ainsi, une nouvelle fois, une personnalité indigne qui ne maîtrise pas ses nerfs et les conséquences de ses erreurs passées ?
À cette interrogation indécente par voie de presse nous n'avons qu'une réponse : le silence du mépris et de l'oubli immédiat pour ce dérapage verbal incontrôlé qui déconsidère son auteur et les fonctions qu'il a assumées. Les citoyens doivent aussi vite oublier l'homme, ses ambitions, sa suffisance et ses erreurs qui ont tant coûté à la collectivité.
Nous regrettons de revenir sur ce qui fâche mais le devoir de vérité impose cette tâche ingrate au nom de la transparence et de la démocratie qui interdit les coups bas par presse interposée et un trop peu regardante.
LE DOSSIER LITTORAL, DES TROMPERIES QUI SUIVENT D'AUTRES TROMPERIES
Nous revenons sur ce dossier qui est la copie de ce que les anciens castelolonnais ont bien connu depuis des décennies avec le projet de fusion des 3 communes, avec les lotissements communaux toujours promis jamais réalisés, avec la nouvelle mairie inutile, avec des budgets insincères et des appels d'offres truqués...
Les castelolonnais, pour la fusion, se sont rendus compte en 2016 que les maires Jean-Yves BURNAUD puis son successeur Joël MERCIER se disaient favorables à la fusion avant les élections municipales puis faisaient tout pour que la fusion ne se fasse pas (comme récemment en 2009, 2015 2016...)
Même les proches du maire se faisaient avoir et certains le reconnaissent enfin aujourd'hui.
Il faut vraiment que les maires et quelques adjoints aient eu de gros intérêts à ce que la fusion ne se fasse pas (voir rapports de la Chambre Régionale des Comptes) pour jouer à ce jeu là dénoncé publiquement par une poignée de "fusionnistes" qui n'ont soufflé que le 2 janvier 2019 quand Joël MERCIER a été éliminé. Cela a mis fin à un sale jeu politico-affairiste financier qui ruinait le Pays des Olonnes.
Il y a eu aussi le précédent de la Société d'Économie Mixte du Pôle Santé Hôpital-Clinique où le maire en place a senti le vent du boulet de la Justice le bousculer et cela aurait pu être pire si la Justice...
Il y a eu et il y a toujours le dossier des terrains de la Ferme de Villeneuve cédé au groupe Hollandais à un prix qui a spolié les castelolonnais ...la vente des terrains est toujours annulée, les petits arrangements ne faisant pas des actes juridiques clairs,
et d'autres tromperies sur le dos de la collectivité pourraient être évoquées.
NOUVELLES JOURNÉES DES DUPES AVEC LE DOSSIER LITTORAL
Ce sont les journées que Joël MERCIER et Isabelle DOAT ont passé pour convaincre et tromper ses interlocuteurs sur l'option choisie pour le dossier LITTORAL : la fermeture de la route littorale actuelle, le fameux dévoiement.
Les vices du dossier :
- l'accord du conseil municipal du 30 juillet 2013 : c'est un gros mensonge, il n'y a jamais eu d'accord du conseil municipal sur le projet ni de présentation du dossier à ce conseil mais simplement autorisation de poursuivre les études et de saisir la commission départementale des sites !
- d'après le maire il n'y avait pas de problème pour le lotissement L'ESTRAN qui acceptera le passage de la nouvelle route sous les fenêtres de certains propriétaires...sauf que le propriétaires quand, enfin, ils ont été consultés ont dit NON ! alors que le maire occultait à ses interlocuteurs cette possibilité pourtant évidente !
- les promesses de subventions de L'Europe , la Région, le Département sur des bases inconnues puisque le maire Joël MERCIER n'annonçait jamais deux fois de suite le même coût 2, puis 3, puis 5 millions d'euros on a tout lu, tout entendu ...et on part maintenant sur une estimation plus réaliste de ce projet à 10 millions d'euros. nous ne savons toujours pas pourquoi officiellement ce projet sur sa partie route littorale dévoyée était une obligation incontournable. Ce projet pharaonique aux frais du contribuable ne correspond pas à un besoin et encore moins à une priorité ...la route ne s'en va pas ! ne s'en ira pas. Elle est là encore pour longtemps et pourra même être aménagée.
Ces tromperies enrobées dans de belles envolées pseudo écolo sont maintenant révélées. Elles déconsidèrent non seulement l'élu et ceux qui l'ont soutenu mais aussi la ville de Château d'Olonne et ses citoyens auprès de ceux qui maintenant découvrent qu'ils ont été trompés : Département, Ministère de l'Environnement, Conservatoire du littoral, Préfets, Région, Europe ...
À SUIVRE...