Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Recherche

9 octobre 2022 7 09 /10 /octobre /2022 20:00
NOUVELLES DES SABLES D’OLONNE : STATUE SAINT MICHEL ET PROCHAINE CONSULTATION POPULAIRE DES SABLAIS

 

 

 

 

STATUE SAINT- MICHEL

 

Lors du dernier Conseil Municipal des Sables d’Olonne, comme d’habitude, il a été question d’achats ou de rétrocessions de terrains.

Cela a donné l’idée malicieuse à Jacques BARRETEAU (élu d’opposition) de rappeler au maire Yannick MOREAU sa proposition faite en janvier 2022 : « vendre le parvis de l’église à une association cultuelle, culturelle ou autre. »

Ainsi, la statue ne serait plus sur le domaine public et la loi de 1905 sur la séparation des Églises et de l’État ne pourrait plus s’appliquer.

Pour le Maire, qui, bien sûr, a fait étudier cette hypothèse, c’est malheureusement « une fausse bonne idée ».

Pour l’instant, l’arrêt de la Cour d’Appel de Nantes de septembre 2022 confirmant la décision du Tribunal Administratif de Nantes du "déboulonnage" de la statue fait l’objet d’un recours en cassation devant le Conseil d’État. Pour le maire Yannick MOREAU, défenseur du patrimoine de la ville, il lui appartient de « convaincre » le juge que la place de la statue emblème de l’école Saint Michel est bien sur la place devant l’Église Saint Michel dans le quartier Saint Michel près de la résidence Saint Michel ! « Elle est là et vraiment bien là 

Rappelons que c’est une initiative d’un responsable Monsieur Jean REGOURD, de la Fédération de Vendée de la « Libre Pensée » que cette procédure a été lancée. Le Conseil Municipal des Sables d’Olonne opposition comprise n’apprécie, comme la majorité des sablais cette initiative d’un autre âge. « La Libre Pensée » au moins son dirigeant, en manque de reconnaissance, fait vraiment une application très particulière de l’adjectif « libre » étant lui-même prisonnier d’une idéologie d’un autre temps et tentant à l’imposer à une population favorable au maintien de la statue à sa place actuelle. Nous ne voyons pas en quoi cette œuvre d’art sur une place publique peut heurter la liberté de culte et celle de conscience et avons du mal à comprendre les décisions de Justice quand on lit l’article 1 de la loi  de 1905 encore en vigueur:

« La République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes sous les seules restrictions édictées ci-après dans l'intérêt de l'ordre public. »

Quelle perte de liberté de conscience aux Sables d’Olonne cette statue inoffensive peut-elle engendrer à sa place actuelle ?

Quel trouble à l’ordre public peut-elle engendrer ?

Une minorité (la libre pensée) infime peut-elle dicter sa loi à la majorité de citoyens sablais ?

Espérons que les sages du Conseil d’État sauront, comme ils le font si souvent, redonner à la loi de 1905 sa juste place et interprétation.

Ce qui est sûr c’est que cette liberté de la pensée invoquée fait gaspiller à la collectivité une énergie qui pourrait être consacrée à des choses plus graves.

Pour prendre connaissance de la décision du 16 septembre 2022 de le Cour Administrative d’appel de Nantes :  

http://nantes.cour-administrative-appel.fr/Actualites-de-la-Cour/Communiques/Statue-de-l-archange-Saint-Michel-aux-Sables-d-Olonne-Vendee

 

 

 

 

 

 

LA LISTE YANNICK MOREAU (2020)

LA LISTE YANNICK MOREAU (2020)

CONSULTATION DES SABLAIS : PROMESSE DE YANNICK MOREAU, CONSULTER LES SABLAIS SUR LES PROJETS MUNICIPAUX

 

Sur sa profession de foi, lors de la dernière élection municipale de 2020, Yannick MOREAU, candidat, avait écrit :

« Les consultations populaires sont utiles et efficaces.

 Entre deux élections municipales les habitants seront consultés en 2022 et 2024 sur les grands projets de la ville.

Cet engagement conduira les Sablais d’Olonne, du Château, de la Chaume et des Sables d’Olonne à se prononcer tous les deux ans sur les affaires municipales

Anthony BOURGET, responsable de l’opposition (liste Aimer les Sables), lors du dernier conseil municipal, a rappelé au maire sa promesse.

Ce point n’était pas à l’ordre du jour du Conseil Municipal mais le maire Yannick MOREAU a cependant répondu à l’élu et a annoncé qu’en novembre une consultation aurait bien lieu « sur plusieurs projets ».

Pour une saine et vivante démocratie locale et pour éviter le fossé qui se creuse, entre deux élections, souvent entre élus et citoyens, cette nouvelle ne peut que nous réjouir.

Maintenant, attendons le texte sur quel la population aura à se prononcer et attendons aussi de voir si cette expérience de démocratie directe déjà faite sur le projet Littoral et sur la fusion (à Château d’Olonne) sera mobilisatrice.

Partager cet article
Repost0
29 septembre 2022 4 29 /09 /septembre /2022 14:50
LES FAÇADES DES PALAIS DE JUSTICE : SOUVENT BELLES À L'EXTÉRIEUR MAIS À L'INTÉRIEUR UN GRAND CHANTIER EST NÉCESSAIRE

LES FAÇADES DES PALAIS DE JUSTICE : SOUVENT BELLES À L'EXTÉRIEUR MAIS À L'INTÉRIEUR UN GRAND CHANTIER EST NÉCESSAIRE

 

 

 

LA JUSTICE EN FRANCE : CONSTAT DÉSOLANT ET DANGEREUX

 

"Lorsque une société a perdu ses valeurs morales, la Justice est le dernier rempart contre le retour du règne animal et les Juges des citadelles."

Le rempart en France est fissuré de toutes parts et présente même des zones effondrées.

Plus d'un français sur deux n'a pas confiance en la Justice et pourtant nous, citoyens, sommes tous des justiciables .

Nous ne répéterons  jamais assez que la JUSTICE est un pilier sur lequel se fonde la vie en société et que la situation actuelle de la Justice en France est intolérable.

La Justice est un des trois pouvoirs dévolus à l'État, c'est une des trois compétences obligatoires dites régalienne.

Pourtant depuis des décennies, l'Institution JUSTICE en France est abandonnée par l'État.

 

LA JUSTICE, UN SERVICE PUBLIC VRAIMENT EN DÉCRÉPITUDE TOTALE

Ainsi, en début 2021, pour montrer que, même en période préélectorale, le Président MACRON veut voir aboutir des réformes et pour répondre ainsi au souhait de son nouveau Ministre de la Justice,  Éric DUPOND-MORETTI maintenu, qui était de réconcilier les français et leur Justice est lancée l'idée d'États Généraux de la Justice.

En mai 2021, en pleine crise entre les accusations d'une Justice laxiste et d'une Police en colère, le Président  Emmanuel Macron prend l’initiative, par un bref communiqué, à moins d’un an de la fin de son mandat, de lancer des États généraux de la Justice tout en soulignant son profond attachement à la séparation des pouvoirs entre l'exécutif dont il est le chef suprême et le pouvoir Judiciaire.

Entre la parole et les actes, il y a souvent un précipice insondable.

C'est ainsi que près de 50.000 citoyens, courant 2021 et début 2022, acteurs et partenaires de la justice ont pu formuler des propositions pour tenter de bâtir la justice de demain.

Le comité indépendant chargé de synthétiser ces propositions a, enfin ! remis son rapport intitulé "RENDRE JUSTICE AUX CITOYENS" au Président de la République, le 8 juillet 2022. Le ministre de la Justice souhaite présenter, à l'automne 2022, un plan d'actions et une loi de programmation pour la justice.

Pour votre information voilà le lien pour le Rapport intégral enfin rendu public

http://www.justice.gouv.fr/_telechargement/Rapport_EGJ_20220516.pdf

 

"RENDRE LA JUSTICE AUX CITOYENS":  UN RAPPORT DE PLUS ! MAIS CELUI-LÀ, IL EST EXPLICITE AU MOINS DANS SON CONSTAT D'UNE SITUATION DE DÉSESPÉRANCE

Voici un extrait du texte de la présentation du rapport (sur le site officiel de "vie publique") :

"Dans ce rapport, le comité des États généraux de la justice évoquait "l'état de délabrement avancé dans lequel l'institution judiciaire se trouve" après des "décennies de politiques publiques défaillantes".

Le rapport appelait ainsi à une réforme systémique afin de "clarifier le rôle de la justice dans la société, la place de l'autorité judiciaire dans la cité et la mission du juge" dans un contexte de défiance généralisée face aux institutions.

Délais de jugement excessifs, outils et infrastructures informatiques insuffisants ou obsolètes, exécution tardive des décisions de justice, recul de la collégialité, conditions de détention indignes...

La crise traversée par la justice française est présente à la fois du côté des professionnels et des justiciables. Le découragement des uns et l’incompréhension des autres tendent à devenir inquiétants pour la garantie des droits :

  • les délais de jugement moyens ont été allongés au cours des dernières décennies, atteignant 13,9 mois pour la première instance en 2019, 15,8 mois en appel et jusqu’à 16 mois aux prud’hommes ;
  • le manque de qualité de justice rendue en matière pénale a abouti à une multiplication des courtes peines de prison ;
  • la dégradation et le surpeuplement des établissements pénitentiaires et des maisons d’arrêt entravent la réinsertion et favorisent la récidive."

En résumé, un constat qui devrait déboucher sur une réforme totale du système :

  • la sous-dotation budgétaire permanente de l'institution judiciaire ;
  • la complexification et la multiplication du droit et procédures ;
  • les réformes mises en place qui ne visent qu’à "colmater les brèches" d’un système défaillant ;
  • la multiplication des missions assignées à la justice.

En clair, la Justice est malade, tout est à revoir.

 

UN RAPPORT ÉLABORÉ DANS DES CONDITIONS CONTESTABLES

La rédaction de ce  rapport n'a pas été un accouchement sans douleur. Il était attendu depuis de longues semaines et ce n'est certainement pas un hasard si sa publication a été faite en été avec certainement le secret espoir que les citoyens ne le lisent pas pendant ces vacances et que le personnel de la Justice et les syndicats concernés  ne seront pas mobilisables pour répondre.

Au moment où les informations sur la rentrée parlementaire, sur les retraites, le climat abreuvent les citoyens qui ont bien pu entendre et disserter sur le rapport baptisé "Rendre justice aux citoyens" qui a été présenté comme une base d'une Justice nouvelle restaurant la confiance entre Elle et les citoyens ?

D'abord disons haut et fort que les réflexions de participants locaux à ces États Généraux n'ont pas mâché leurs mots : de la foutaise, on a perdu notre temps, semblant de consultation des serviteurs de la justice : magistrats, personnels administratifs, personnels pénitentiaires, éducateurs...

Ceci explique, peut-être, le retard à la mise au point du rapport final et à sa publication.

 

ESPOIR OU DÉSESPOIR APRÈS LE RAPPORT ?

À la suite du rapport,  le ministre de la justice a ouvert, dés le 18 juillet 2022, des consultations avec des citoyens ayant participé aux États Généraux de la Justice et avec des acteurs du monde judiciaire. Le ministre souhaite présenter, à l'automne 2022, un plan d'actions et une loi de programmation pour la justice. On l'attend avec impatience.

Attendons donc de voir ce qui sera proposé et surtout les moyens concrets alloués avec l'espoir que ce sera a la hauteur de l'extrême gravité de la situation désespérante de la Justice.

Ce qui a été détruit ou abandonné des décennies ne se réparera pas d'un coup de baguette magique. Il n'y aura pas de miracle. Le laxisme des gouvernements de ces trois dernières décennies se payera au prix fort  et il faudra effectivement un vrai plan de sauvegarde d'au moins 5 ans pour commencer un redressement de  l'édifice Justice et des années en plus pour obtenir une Justice en laquelle le peuple français croira enfin.

 

UN PAYS RICHE PEUT AVOIR UNE JUSTICE MISÉRABLE ET SORTIR DE LA MISÈRE DEMANDE D'Y CROIRE ET DE LA VOLONTÉ

Les promesses non tenables comme celles faites encore récemment pour l'augmentation du nombre de magistrats et  la plus récente sur la rémunération des magistrats  mais  aussi celles des places dans les prisons, ne suffiront plus.

Comme quoi, avec un pays riche, des ministres et gouvernements incompétents et interchangeables,  le pouvoir Régalien nommé JUSTICE peut sombrer. Renflouer un navire échoué  ne se fait pas avec des promesses que plus personne ne croit.

 

Sortir la Justice de la misère demeure une priorité de l'État, un besoin urgentissime du personnel qui la sert et ne passera que par une volonté affichée des dirigeants du Pays et de l'exigence pressante d'un peuple qui ne supporte plus l'abandon de ce pilier qu'est, pour une Nation, sa Justice.

 

 

Partager cet article
Repost0
12 juillet 2022 2 12 /07 /juillet /2022 21:16
LE SYMBOLE DE LA JUSTICE

LE SYMBOLE DE LA JUSTICE

 

 

LES TROIS POUVOIRS EXÉCUTIF, LÉGISLATIF ET JUDICIAIRE DOIVENT ÊTRE INDÉPENDANTS « SÉPARÉS »

Le principe de la séparation des pouvoirs a valeur constitutionnelle puisqu'il est consacré par l’article 16 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 incorporé à la Constitution de 1958. Il y est stipulé que : « Toute société dans laquelle la garantie des droits n'est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution ».

La séparation des pouvoirs est donc conçue comme « la première condition d'un gouvernement libre » (art. 19 de la constitution de 1848).

Il n’y a pas de démocratie, s’il n’y a pas séparation des pouvoirs.

Si cette séparation des pouvoirs est inscrite dans les textes, la pratique est plus douteuse en vertu du constat que les « institutions ne valent que par les hommes qui les animent »

Le monde doit pour une large part cette disposition à MONTESQUIEU.

En effet, l’objectif assigné par MONTESQUIEU à cette théorie est d’aboutir à l’équilibre des différents pouvoirs : "Pour qu’on ne puisse pas abuser du pouvoir, il faut que, par la disposition des choses, le pouvoir arrête le pouvoir."...et ce furent les Américains qui, en 1787, furent les premiers applicateurs lors de l’élaboration de leur Constitution en 1787.

 

L’INDÉPENDANCE DU POUVOIR JUDICIAIRE EN FRANCE

Nous avons longuement disserté sur les deux pouvoirs législatif et exécutif mettant de côté le pouvoir judiciaire : le mal-aimé de ces trois pouvoirs de ces dernières décennies.

Le divorce entre les citoyens français et leur Justice est consommé.

Eric DUPOND-MORETT, professionnellement avocat donc auxiliaire de Justice et actuel Ministre de la justice, Garde des Sceaux, s’est d’ailleurs donné pour mission première quand en 2020 il a accepté ce poste de réconcilier les français et leur justice. Il a fait voter sa loi pour la confiance dans l’institution judiciaire. On ne peut donc ignorer qu’il y a un, voire des gros problèmes. Il a engagé uns consultation nommée États Généraux de la Justice dont le rapport final vient juste d’être publié en pleine campagne électorale !

 

LA PAUVRETÉ DE LA JUSTICE FRANÇAISE NUIT À SON INDÉPENDANCE

Cette misère n’est plus à démontrer : pauvreté tous azimuts en moyens matériels et en moyens humains. Ainsi, la France, en Europe, est en queue de peloton tant pour le nombre de magistrats par habitant, que pour la part budgétaire qui lui est allouée pour sa Justice.

Le manque de moyens compromet le bon fonctionnement de la Justice donc sa crédibilité et son indépendance.

Elle est par contre en tête pour le nombre de lois « pondues » pour des réformettes de la Justice parfois même inappliquées qui viennent compliquer la tâche des magistrats. Rappelons le fiasco de l’introduction de la numérisation mis en évidence par la Cour des Comptes

https://www.ccomptes.fr/fr/publications/point-detape-du-plan-de-transformation-numerique-du-ministere-de-la-justice

La Justice, en France, est comme son Hôpital, très malade. Ces deux institutions ont un dénominateur commun ; celui d’appartenir au pouvoir régalien de l’État : la Sécurité des citoyens que l’État s’engage à garantir. C’est aujourd’hui un échec.

 

POUR ILLUSTRER LA DÉPENDANCE DE LA JUSTICE PAR RAPPORT AU POUVOIR EXÉCUTIF NOUS OUVRONS DEUX DOSSIERS :

Nomination des Magistrats

 

  • UN SCANDALE D’ÉTAT : NOMINATION D’HÉLÈNE DAVO, conseillère Justice d’Emmanuel MACRON. Cette conseillère a cette particularité c’est qu’après 25 ans de carrière comme magistrate elle n’a jamais exercé de fonction dans une juridiction, pas même dans un tribunal d’instance ou judiciair, mais elle « siège » dans les cabinets ministériels, en détachement...
  • Or la voici propulsée comme Première Présidente de la Cour d’Appel de Bastia « choisie, proposée  » par le CSM Conseil Supérieur de la Magistrature.
  • Ce CSM a pour rôle de garantir l'indépendance des magistrats de l'ordre judiciaire par rapport au pouvoir exécutif. Dans les institutions actuelles, son fonctionnement est fixé aux articles 64 et 65 de la Constitution.

Or, si le CSM a délibéré et voté pour cette nomination de la candidate propulsée par le Président de la République en écartant les 11 autres candidat(e)s c’est en son âme et conscience (????couverte par le secret du délibéré) qu’il a obéi aux injonctions presue informelles du Président de la République. Pour le choix à ce poste il y avait un critère : avoir présidé une juridiction ! Faisons fi de cette compétence logique.Vive l’indépendance de la Justice, vive l’indépendance des magistrats, vive Emmanuel MACRON Président de la République chargé par la Constitution (article 5) à veiller à son respect :

Le Président de la République veille au respect de la Constitution. Il assure, par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l'État.

Chargé de veiller au respect de la Constitution il est le Premier à la violer sans pudeur. C’était tellement gros qu’il y a eu des fuites et que vous pouvez ainsi bénéficier de cette information ! Et en plus pour une nomination en Corse !

 

Interventions de l’Exécutif dans les affaires en instance

De plus, chaque jour nous apprenons parfois même de la bouche des magistrats que des hommes politiques en vue sont poursuivis dans des affaires pénales : viols, prise illégale d’intérêts, détournements de fonds publics, fraudes fiscales...

Ces affaires obéissent aux règles de la protection de l’individu comme celles  de la présomption d’innocence, celle du secret de l’instruction que même les magistrats ne respectent pas...la magistrate citée ci-dessus était à l’Élysée chargée de suivre ces dossiers sensibles pour le compte du Président de la République !

Si, la nomination promotion des magistrats passe par des décisions ou influences du pouvoir exécutif les magistrats ne sont pas indépendants et nous comprenons la défiance du peuple français pour "sa" justice.

Bravo pour une vraie indépendance attendue de la Justice ! Il faudra remettre de l’ordre dans la Maison France ! pour que la France demeure une démocratie crédible et une Justice comprise par les citoyens justiciables.

 

 

 

Partager cet article
Repost0
5 juin 2022 7 05 /06 /juin /2022 21:41
VOTEZ POUR ÉVITER QUE DANS CE CHÂTEAU NOMMÉ L'ÉLYSÉE SE CONCENTRENT TOUS LES POUVOIRS ET LES RISQUES CERTAINS D'ABUS DE POUVOIRS

VOTEZ POUR ÉVITER QUE DANS CE CHÂTEAU NOMMÉ L'ÉLYSÉE SE CONCENTRENT TOUS LES POUVOIRS ET LES RISQUES CERTAINS D'ABUS DE POUVOIRS

 

 

LES LÉGISLATIVES DANS 7 JOURS : DES ENJEUX SOCIÉTAUX PLUS IMPORTANTS QU'IL N'Y PARAIT

On ne vous dit pas tout !

Nous serons donc tous appelés dimanche prochain à voter pour l’élection de nos 577 députés qui auront l’honneur d’avoir la compétence de faire et défaire la loi au nom de tous les français. Ils ont deux missions essentielles faire les lois et assumer la charge de contrôler l’action du Gouvernement qui doit faire exécuter les lois.

 

LE DIMANCHE 12 JUIN VOTEZ POUR ÉLIRE LE DÉPUTÉ DE VOTRE CIRCONSCRIPTION

VOTER ? OUI, EN AYANT BIEN CONSCIENCE QUE L’ABSTENTIONNISME NUIRA PLUS QUE JAMAIS AU PAYS

En France, le vote est une obligation seulement morale, individuelle ? Nous n’en sommes pas encore au vote obligatoire.

6 300 candidats vont donc se présenter à la députation pour occuper les 577 sièges de la Chambre des députés. Même s’il y a des candidats « soutenus » par la majorité présidentielle, il reste donc quand même, démocratiquement, à l’électeur le choix de son candidat, et ainsi celui d’exprimer ses tendances et espérances.

Ainsi, donc aller voter aura un sens ...sauf si l’abstention est trop importante.

En effet, un taux anormalement élevé d’abstention fera d’une part, des 577 députés des mal élus et d’autre part, ce qui est pire, ce sera la poursuite de l’affaiblissement du Parlement. Tout le pouvoir sera alors confisqué par le Chef de l’État et comme il est indiqué ci-dessus : il y a danger pour les citoyens, les libertés et la démocratie.

 

LE PRÉSIDENT MACRON ANNONCE LA COULEUR : IL VEUT AFFAIBLIR LE POUVOIR DES DÉPUTÉS

L’analyse de cette situation se lit d’ailleurs bien dans le souhait Présidentiel de créer des institutions comme il vient juste de l’annoncer pour le CONSEIL NATIONAL de la REFONDATION qui ne peut qu’affaiblir le Parlement et dévoyer la Constitution. On a vu ce que cela donnait avec le Grand débat, avec le Convention Citoyenne pour le Climat, les États généraux sur la Santé, sur la Justice, sur la Bioéthique ...c’est un dévoiement d’une pseudo démocratie directe et un affaiblissement du pouvoir législatif.

 

VOTER, C’EST POUVOIR EXPRIMER LE SOUHAIT DE SAUVER L’ÉQUILIBRE NÉCESSAIRE ENTRE LES POUVOIRS LÉGISLATIF ET EXÉCUTIF

S’ABSTENIR C’EST ACCEPTER UNE CONCENTRATION ABUSIVE DES POUVOIRS DANS LES MAINS DU SEUL PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE

 

PS : Suite à un problème technique pour la Vendée 3ième circonscription (Les Sables d’Olonne, Saint Gilles....)  la profession de foi du candidat NUPES n’est pas jointe à l’envoi des candidats mais il y a bien un candidat ! Aurélien MAUGER

 

 

RAPPEL

POUR LA DÉFENSE D'UNE SOCIÉTÉ STRUCTURÉE, JUSTE ET SOLIDAIRE

Association citoyenne, notre objectif tel qu’il est défini dans les statuts de notre association CACO est d’informer nos concitoyens pour défendre une démocratie apaisée, solidaire et légaliste.

L’idée fondatrice de notre association est qu’une société, pour le bien de ses membres, ceux-ci doivent admettre une règle de base : la liberté de chacun est le bien collectif le plus précieux mais que cette liberté a une limite : « La liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres ».

En découle ce deuxième constat : la vie en société n’est possible que s’il y a des règles admises à ne pas enfreindre.

Donc, il faut que des membres de cette société reconnus veillent au bon fonctionnement des institutions que la société se donne. Ces membres sont dotés de pouvoirs. Or, que ce soit dans le monde humain ou dans le monde animal celui qui a du pouvoir a une tendance naturelle à abuser de ce pouvoir.

Notre objet est donc basiquement d’agir sans relâche pour que les hommes de pouvoirs n’abusent pas du pouvoir dont ils sont investis : les élus, les juges, les policiers, les chefs d’entreprises...tous ont un pouvoir dont ils doivent USER MAIS PAS ABUSER.

Cette nouvelle élection du dimanche 12 juin a pour but de choisir ceux qui vont pendant 5 ans avoir la dure fonction de « faire la loi ». Les lois doivent être comprises et admises par tous. Ce sont les députés qui font les lois au nom du peuple souverain ...le Gouvernement et le Président de la République ont pour mission de veiller à la bonne exécution des lois et non de faire les lois contrairement à une tendance fâcheuse et inconstitutionnelle sous cette cinquième République.

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
3 avril 2022 7 03 /04 /avril /2022 21:05
PROGRAMME 2017 DU CANDIDAT MACRON

PROGRAMME 2017 DU CANDIDAT MACRON

 

 

PAS DE DÉBAT SUR LE BILAN DU QUINQUENNAT MACRON : UN ESPOIR PUIS DES DÉCEPTIONS

Le citoyen a le droit de savoir avant de voter. Le passé, sous cette cinquième République, a montré l’importance des vrais débats entre les candidats à la Présidence pour que la décision du citoyen votant soit fondée sur une réflexion personnelle aussi éclairée que possible. Dans le cas de figure actuel, le vote se serait joué en grande partie sur la base du bilan du Président sortant.

Nous avons examiné, sans complaisance ni parti pris, depuis le début de ce mandat MACRON, les actions menées par le Président et ses gouvernements par rapport au projet Macron « PROGRAMME EN MARCHE » d’avril 2017. Nous avons fait le constat d’un espoir né en 2017 avec l’élection d’Emmanuel MACRON même si cette élection a été volée par l’affaire FILLON.

Après cet espoir, il y a eu les déceptions exprimées dans des votes où le seul gagnant a été le parti des abstentionnistes (européennes de 2019 et municipales de 2020) ! Le grand perdant est maintenant la démocratie : le peuple français, sous l’ère MACRON, a continué à voir se creuser le fossé entre lui et ses dirigeants.

 

UN EXEMPLE DANS LE BILAN DU PRÉSIDENT MACRON : SÉCURITÉ ET TRANSPARENCE DE LA VIE POLITIQUE

Les promesses du Président Macron (quatrième et cinquième chantier figurant sur le programme du candidat Président en 2017, voir photo ci-dessous) d’une politique propre sont entachées de défaillances coupables graves : une succession de scandales.

SÉCURITÉ :

Nous ne reviendrons pas sur la promesse qui concerne la Sécurité, préoccupation n°1 des français. Rappelons seulement la promesse de la création de 15 000 places nouvelles dans les prisons . Résultat : au bilan du quinquennat aucune place nouvelle dans les prisons  ! Constat : que des créations programmées avant 2017 ! et rien des 15 000 places promises et aussi rien pour la prévention, le suivi des condamnés...

LE DOSSIER ALSTOM

Rappelons que le Président-candidat a été impliqué dans la vente d’Alstom à General Electric alors qu’il était secrétaire général adjoint de l’Élysée (2012-2014) puis ministre de l’Économie (2014-2016). Le député LR Olivier MARLEIX avait saisi le parquet sur ces conditions de vente, et notamment la passivité de la Justice face aux soupçons de corruption. Le député relevait « Le fait que l’on puisse retrouver dans la liste des donateurs ou des organisateurs de dîners de levée de fonds des personnes qui auraient été intéressées aux ventes précitées [Alstom, Technip, Alcatel…] ne peut qu’interroger. S’il était vérifié, un tel système pourrait être interprété comme un pacte de corruption. » Là encore, un rapport révèle « la débauche de moyens mis en œuvre pour acheter la décision du gouvernement »...et le rôle étrange des intermédiaires comme les cabinets conseils.

 

LA KYRIELLE DES AFFAIRES CONNUES QUI COLLENT À L’ENTOURAGE DU PRÉSIDENT MACRON

 

  • Dossier Richard FERRAND, ancien ministre, Président de l’Assemblée Nationale, prise illégale d'intérêts,
  • Dossiers BAYROU et de SARNEZ sur les emplois fictifs au niveau des élus européens,
  • Dossier Sylvie GOULARD, ex Ministre des armées, aussi affaire des assistants d'eurodéputés Modem,
  • Affaires BENALLA un très, très proche du Président, condamné délits multiples, autres affaires en cours,
  • Affaires des cabinets conseil dite affaire Mac Kinsey,
  • Affaire Alexis KOHLER, Directeur du Cabinet trafic d’influence et prise illégale d’intérêts (liens ses liens familiaux avec l'armateur italo-suisse MSC), lié à affaire BENALLA,
  • Affaire Alain GRISET, ministre des PME, dossier de fausse déclaration de patrimoine,
  • Gestion de la crise sanitaire...et l’affaire de l’ancienne ministre de la santé Agnès BUZYN,
  • ...

Si on est obligé de rappeler tous ces faits divers peu glorieux pour la sphère de nos dirigeants de ce dernier quinquennat, c’est justement que le public citoyen n’a pas été particulièrement bien informé sur ce que recouvre ces sombres dossiers. C’est aussi, que, sous la Gouvernance MACRON, l’indépendance de la Justice a été mise à mal dans nombre d'affaires...s’il avait accepté le débat le Président sortant aurait pu apaiser nos doutes fondés sur sa  « République exemplaire ».

S’il y avait eu des débats, nous, les citoyens de base, aurions pu être un peu éclairés...au lieu de cela nous avons eu une campagne électorale insipide et surtout pas de débat contradictoire sur le bilan du quinquennat MACRON et le mode de gouvernance passé du Président et celui qu’il aurait pu nous annoncer.

 

2022, 2017 DEUX ÉLECTIONS PRÉSIDENTIELLES VOLÉES AUX CITOYENS

Une élection 2022 sans campagne électorale, après celle de 2017 qui fut aussi avec une campagne électorale truquée, volée avec la sortie bizarre au moment de la campagne électorale du dossier FILLON...en tête des sondages. Est-ce une nouvelle conception de la démocratie ?

 

LE PROGRAMME 2017 DU CANDIDAT MACRON : LES ÉLECTEURS DE 2022  SERONT PRIVÉS DE DÉBAT SUR LE BILAN DE CE BEAU PROGRAMME

LE PROGRAMME 2017 DU CANDIDAT MACRON : LES ÉLECTEURS DE 2022 SERONT PRIVÉS DE DÉBAT SUR LE BILAN DE CE BEAU PROGRAMME

Partager cet article
Repost0
5 mars 2022 6 05 /03 /mars /2022 10:56
LA CONCENTRATION INCONSTITUTIONNELLE DES POUVOIRS D'UN PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE

LA CONCENTRATION INCONSTITUTIONNELLE DES POUVOIRS D'UN PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE

 

 

LA SÉPARATION DES POUVOIRS : UNE NÉCESSITÉ ABSOLUE POUR UNE DÉMOCRATIE ET LA LIBERTÉ...AUX URNES CITOYENS !

DES MOTS FORTS POUR UNE RÉVEIL DE LA NATION FRANCE

 

LA SÉPARATION DES POUVOIRS : EXÉCUTIF, LÉGISLATIF, JUDICIAIRE SAUVEGARDE DES LIBERTÉS INDIVIDUELLES

La séparation des pouvoirs en démocratie est la protection la plus solide du citoyen face à l’éventuel arbitraire des abus de pouvoir de l’État et de ses serviteurs.

Cette séparation des pouvoirs a été créée afin de « limiter » l'arbitraire et d'empêcher les abus liés à l'exercice de missions souveraines.

Le principe de la séparation des pouvoirs a valeur constitutionnelle puisqu'il est consacré par l'article 16 de la Déclaration des droits de l'homme et du Citoyen de 1789 aux termes duquel : « Toute société dans laquelle la garantie des droits n'est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution ». Classiquement, la séparation des pouvoirs est conçue comme « la première condition d'un gouvernement libre » (art. 19 de la Constitution de 1848 ).

Certes, comme tout principe il a des exceptions mais elles sont extrêmement rares et encadrées. Des exceptions qui confirment la règle. Il n’y a pas et il ne peut donc y avoir des murs étanches entre les 3 pouvoirs mais la Constitution et le Conseil d’État et le Conseil Constitutionnel veillent.

Ces exceptions sont, par exemple, le cas pour les compétences du Conseil d’État qui a compétence pour annuler des actes de l’exécutif comme les mesures prises par décret.

 

QU’EN EST-IL EN 2022 ? : UN RÉGIME PRÉSIDENTIEL ET SEMI DICTATORIAL QUE NOUS AVONS LAISSÉ EMMANUEL MACRON ÉTABLIR ET CONFORTER

QUINQUENNAT D’EMMANUEL MACRON : LES PREUVES D'EN MARCHE VERS UNE DICTATURE

La Justice, en France, est aux ordres du Président

Preuves : l’influence du Ministre de la Justice (exécutif) voire du Président de la République (exécutif) pour la nomination de magistrats aux postes clés et surtout cet aveu de l’ancienne procureur générale du fameux Parquet National Financier PNF, toute puissante juridiction d’exception, Éliane HOULETTE qui a dénoncé un « droit de regard omniprésent » de la part des parquets généraux (émanation de l'exécutif) , indiquant ainsi avoir constaté « un contrôle extrêmement étroit » de l'exécutif dès lors qu’une « personnalité politique est mise en cause ».

Le pouvoir législatif aux ordres du Président

Le Parlement est aux abonnés absents...d'ailleurs parmi les velléités du Président MACRON il y avait bien la diminution du nombre de députés et sénateurs. Si l'on prend le Parlement de cette mandature, il a bien déjà abdiqué ses pouvoirs et ses devoirs.

Le pouvoir législatif aux ordres du Président : l’initiative des parlementaires pour faire la loi a été étouffée par l’initiative quasi exclusive du Président et de « son » gouvernement.

Le pouvoir exécutif aux ordres du Président : normal mais exagérément

Le rôle du Président déborde et écrase celui du gouvernement. Le Président règne sur "ses ministres" et sur "son" Premier Ministre qui est devenu un valet exécuteur des basses œuvres présidentielles.

Ainsi, le Président MACRON faisant fi de la séparation des pouvoirs a achevé l’établissement du Présidentialisme inconstitutionnel : pouvoir sans contre-pouvoir

Cette description sommaire est cependant aussi incontestable qu’inconstitutionnel. Pourtant, ce sujet ne sera pas le sujet central de ces pseudo campagnes électorales, véritables parodies d’exercice d’une démocratie dite parlementaire.  Ce sont pour les français les garanties des libertés individuelles qui sont effectivement remises en cause.

 

Avec ce tableau brutal mais réaliste, tout est désormais prêt pour l’instauration en France d'une aventure dictatoriale avec l'effacement du Parlement et des libertés fondamentales : au peuple français il appartient le devoir de réagir s'il en est encore temps : aux armes citoyens ! aux urnes citoyens !

 

Partager cet article
Repost0
28 février 2022 1 28 /02 /février /2022 12:09
N'EST-ELLE PAS BIEN À SA PLACE ? ...À VOUS DE RÉPONDRE

N'EST-ELLE PAS BIEN À SA PLACE ? ...À VOUS DE RÉPONDRE

UN MODE D'EXPRESSION DE LA DÉMOCRATIE LOCALE : LA"VOTATION" OU CONSULTATION LOCALE

suite de :

https://www.olonnes.com/2022/02/votation-aux-sables-d-olonne-a-partir-de-demain-25-fevrier-2022.html

 

LES SABLES D'OLONNE VIVENT UNE CONSULTATION CITOYENNE  LOCALE : LA MUNICIPALITÉ DEMANDE SON AVIS À LA POPULATION SABLAISE SUR LE DOSSIER DE LA STATUE SAINT MICHEL

 

Il ne faut donc pas confondre "consultation locale" et "référendum": le résultat de la première est un simple avis, le résultat du second est une décision qui s'impose.

Certes, on a coutume de parler de votation mais c'est en Suisse que vit la votation...En effet, en Suisse, le terme "votations" désigne les référendum d’initiative populaire  qui sont organisés trois ou quatre fois par an sur des questions relatives à la politique fédérale, cantonale ou communale. Les autorités sont alors dans l'obligation d'appliquer le résultat de la votation.

Rien à voir avec ce qui se passe en France où le législateur limite toujours la portée et les possibilités d'initiative de référendum et consultations populaires qui sous tendent donc que le résultat du vote s'impose.

Par contre, la consultation citoyenne locale est prévue par la loi (loi du 13 août 2004) et elle est très fréquemment  utilisée.

Sa définition est simple et ouverte : il y a  "consultation citoyenne" lorsqu'un élu, un groupe d'élus, une collectivité ou même l'Etat, demande l'avis d'une partie ou de l'ensemble de ses administrés sur un sujet précis, afin de connaître leur opinion, leurs attentes, leurs besoins. C'est simplement bien un "avis" qui est demandé.

UNE MAUVAISE ACTION IRRESPONSABLE ET SECTAIRE DE  LA "LIBRE PENSÉE"

 

Certes, par les temps qui courent, pour la Municipalité des Sables d'Olonne, il y a autre chose à faire que de se pencher sur le sexe des anges et des archanges.

Pourtant, c'est ce à quoi la Fédération de la Vendée de la Libre Pensée oblige la ville des Sables d'Olonne à faire suite à sa saisine du Tribunal Administratif de Nantes pour demander le déboulonnage de cette œuvre d'art qu'est la statue de Saint Michel érigée, en 2018, sur le parvis de l'Église Saint Michel, après une longue pérégrination.

Réactiver ce qui fut au début du vingt-et-unième siècle une véritable guerre est faire preuve de sectarisme et d’irresponsabilité.

En effet, un très large consensus pourtant s'était révélé pour que cette statue soit implantée sur son site actuel d'où la Justice veut la déboulonner.

Cela n'était pas du goût de quelques libres penseurs vendéens qui, de plus, ne sont pas sablais. Ils se sont attaqués à cette œuvre d'art qui avait trouvé sa place sous le règne de l'Ancien Maire sans que personne personne ne s'y oppose....

Paradoxe : le site mis en cause aujourd'hui fait partie du domaine public parce qu'il fut récemment cédé au domaine public de la commune par le diocèse pour sécuriser les abords de l'Église et le carrefour dangereux !

On peut, à juste titre et sans remettre en cause cette première décision (donc réformable) de la Justice, compte tenu du passé de la statue patronne du quartier Saint Michel et de l'Église et de l'antériorité du site attenant à l'Église  et se demander sérieusement ce qui a pu dicter cette décision de Justice.

Mais alors qu'est venue donc faire la Justice pour réussir à générer ce qui devient une belle polémique inutile et d'un autre temps ? Nous n'avons pas trouvé une réponse satisfaisante dans le texte du jugement.

Il fallait donc que la vox populi tranche en toute sérénité...sablais... allez voter ! merci pour la quiétude que nous retrouverons après ce vote !

 

À SUIVRE..

 

Partager cet article
Repost0
31 janvier 2022 1 31 /01 /janvier /2022 14:47
QUI EST-ELLE ?

QUI EST-ELLE ?

 

LA France EST UN PAYS LIBÉRAL ET TOUTES LES CANDIDATURES AUX ÉLECTIONS Y SONT POSSIBLES MAIS EN CONNAISSANCE DE CAUSE

Mais cette candidature TAUBIRA  ratifiée par un vote contesté même par les leaders de la gauche peut étonner et même scandaliser.

Il est nécessaire de rappeler sommairement le parcours de la candidate de la gauche unie dans la désunion.

Quelle image peut donner cette candidature de la gauche désunie, liquéfiée,rincée, déshonorante ?

 

ANCRÉE À GAUCHE, ELLE REJOINT ÉDOUARD BALLADUR

Examinons sommairement sa déjà longue et sinueuse carrière politique.

Celle-ci commence sa carrière politique en 1978 comme militante indépendantiste notamment au sein du Mouvement Guyanais de Décolonisation. Elle fut même mêlée à un groupe poursuivi pénalement dont les membres furent accusés de projets d’attentats (le complot de Noël). Nous aurons donc une candidate à la Présidence de la France qui milite contre son pays, la France.

Dite et autoproclamée de gauche, c’est l’archétype de la girouette politique allant de l’extrémisme comploteur à BALLADUR et TAPIE en passant par MITTERRAND et les divers partis radicaux.

N’oublions pas qu’elle fut Ministre de la Justice et championne du laxisme en matière pénale et familiale (le mariage pour personnes de même sexe) qui fait que l’institution JUSTICE a perdu encore plus sous on règne  la confiance des français.

Voilà le cursus que les votants de la consultation populaire de la gauche ont porté à la candidature de cette Présidentielle de 2022 : une ennemie de la France à la tête de la République Française ?

 

REJET DES POLITICIENS ET DE LA POLITIQUE PAR LES FRANÇAIS QUI DOIVENT PRENDRE LEUR DESTIN EN MAIN EN VOTANT POUR LES VRAIS DÉFENSEURS DES VALEURS QUI FONT LA FRANCE

Avec ce type de politicienne qui rejoint Ségolène ROYALE au palmarès des employeurs condamnées et recondamnées aux Prud'hommes il ne faut plus s’étonner du rejet des français pour tous les hommes politiques et de leur suspicion vis-à-vis des institutions de la République.

Les français doivent se réveiller, militer français et veiller au respect des engagements de leurs élus.

Partager cet article
Repost0