Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Recherche

10 mars 2023 5 10 /03 /mars /2023 21:41

AVANT

 

UNE DÉCENNIE DE HONTE SUR L'ANCIENNE COMMUNE

 

DE CHÂTEAU D'OLONNE...PUIS L'ESPOIR

 

L' année 2010 ont consacré le transfert de la Clinique dite du Val d'Olonne à Olonne-sur-Mer au sein du Pôle Santé avec l’abandon pur et simple du site où seuls régnaient les squatters, le mépris du maire de la commune de Château d'Olonne et de son équipe dans un climat malodorant d'affairisme, de prise illégale d'intérêts...Rien n'était possible à faire sur ce site...c'était une volonté du maire de ne rien faire ! Nous ne saurons jamais à qui a profité le crime...la page est tournée ! L'heure est donc à l'oubli d'un passé peu glorieux. Regardons l'avenir : une Agglomération en Marche !

L'ABANDON INDIGNE ET MAGOUILLEUX ...RIEN N'ÉTAIT FAISABLE SUR CE SITE POURTANT CONVOITÉ

L'ABANDON INDIGNE ET MAGOUILLEUX ...RIEN N'ÉTAIT FAISABLE SUR CE SITE POURTANT CONVOITÉ

UNE DES VUES DE L'INTÉRIEUR

UNE DES VUES DE L'INTÉRIEUR

LA VERRUE QUI A DÉFIGURÉ L'ENTREÉE DE VILLE DIX ANNÉES DURANT

LA VERRUE QUI A DÉFIGURÉ L'ENTRÉE DE VILLE DIX ANNÉES DURANT

UNE BELLE FIN POUR UNE VERRUE DÉFIGURANT L'ENTRÉE DE VILLE
2016 : ÉTAT DE LA VERRUE QUE LES ÉLUS DE L'ÉPOQUE ONT LAISSÉ PROSPÉRER

2016 : ÉTAT DE LA "VERRUE"QUE LES ÉLUS DE L'ÉPOQUE ONT LAISSÉ PROSPÉRER

 

LE FUTUR

2023 : UN GRAND CHANTIER EN COURS ET UN PROJET INTÉRESSANT

QUI L'EÛT CRU ?

UNE BELLE FIN POUR UNE VERRUE DÉFIGURANT L'ENTRÉE DE VILLE
C'ÉTAIT DONC POSSIBLE

C'ÉTAIT DONC POSSIBLE !

VUE SANS LA VERRUE DES ANNÉES QUI SUBSISTA DONC JUSQU'EN 2022...SOUHAITONS LA RÉUSSITE DE CE PROJET

VUE EN 2023 SANS LA VERRUE DES ANNÉES QUI SUBSISTA DONC JUSQU'EN 2022...SOUHAITONS LA RÉUSSITE DE CE PROJET !

Partager cet article
Repost0
9 mars 2023 4 09 /03 /mars /2023 21:18
EST-IL INTEDIT D'INTERDIRE ?

EST-IL INTEDIT D'INTERDIRE ?

 

 

 

 

 

DES RÈGLES NOUVELLES NON PAS D’INTERDICTION DE CIRCULER MAIS ÉLABORÉES POUR MIEUX CIRCULER ET MIEUX RESPIRER

 

Suite de : 

https://www.olonnes.com/2023/03/stationnement-deplacements-il-faudra-accepter-de-changer-nos-comportements-pour-mieux-vivre.htm

 

Il faut aménager les Centre-Villes et faire en sorte qu'ils demeurent vivables et attractifs : il faut réussir à satisfaire

Pour atteindre cet l'objectif ambitieux mais nécessaire la méthode n’est pas de contraindre mais d’améliorer la qualité de vie de tous sédentaires, visiteurs, vacanciers, travailleurs, enfants, adultes, valides, handicapés....

Une première batterie de textes législatifs et réglementaires est mise en place ! Il y en aura d’autres qu s'impose déjà au niveau national et européen  :

  • Loi Climat et Résilience
  • Loi d’orientation des Mobilités
  • Les normes européennes qui datent de 2008

...

Il faudra y passer, savoir accepter.

Il faudra que les responsables écoutent et agissent sans émettre de diktat.

 Il y aura donc des efforts d'écoute à faire tant au niveau des élus qu’à celui des citoyens.

Il faut ien savoir que toutes les mesures pour améliorer auront un coût : les aménagements bien sûr mais aussi les transports publics de demain déjà "en marche"...et nos chères habitudes !

Mais reconnaissons qu’il n’est pas normal, par exemple, d’avoir des pistes cyclables et à un mètre d’elles des cyclistes sur la chaussée.

Comme, il n’est pas normal d’avoir une piste cyclable qui s’arrête brutalement. !

Que de chemin à parcourir ensemble !

 

GÉRER INTELLIGEMMENT LE CHANGEMENT ; RENDRE DES RÈGLES ACCEPTABLES AVEC DES MESURES D’ACCOMPAGNEMENT ADAPTÉES, NÉGOCIÉES, ACCEPTÉES

Comme au niveau national y a une batterie de textes législatifs et réglementaires contraignants et au niveau local une situation qui impose des règles aussi contraignantes il doit y avoir en contrepartie petit à petit une batterie de mesures d’accompagnement pour faire passer la pilule de la chère voiture qui reste au garage.

Il doit y avoir des exceptions pour les personnes qui ont des difficultés de déplacement.

Évidemment tout cela nécessite le renforcement coordonné voire la création de transports urbains nouveaux adaptés avec des véhicules non polluants et les arrêts à la demande, des parkings à la périphérie...

Nous sommes tous concernés nous devons tous participer et collaborer au changement qui est une obligation de santé publique et de sécurité.

 

RÂLER NE SERT À RIEN...C’EST CEPENDANT UN DROIT, UNE LIBERTÉ CONDITIONNÉE À CELLE DE PROPOSER, D’AIDER AU CHANGEMENT, DE PARTICIPER, D’IMAGINER ET D’INVESTIR

LA VILLE DE PARIS NE S’EST PAS FAITE EN JOUR : il faudra de la patience, de la compréhension pour s’adapter et faciliter le changement

 

À DIFFUSER SANS MÉNAGEMENT

 

Partager cet article
Repost0
5 mars 2023 7 05 /03 /mars /2023 21:36
NOUS ADORONS LE TITRE : AUTO-CERTIFICATION D'UNE PERSONNE PHYSIQUE À DES FINS FISCALES

NOUS ADORONS LE TITRE : AUTO-CERTIFICATION D'UNE PERSONNE PHYSIQUE À DES FINS FISCALES

 

 

 

 

Rien que l'intitulé du document est aussi repoussant que bassement technocratique. Il ne cache qu'à moité son objectif inquisitoire et certainement inutile.

 

LES BANQUES : ATTEINTES GRAVES À NOS LIBERTÉS INDIVIDUELLES ET GROS RISQUES DE DIVULGATION DES DONNÉES PERSONNELLES DES CLIENTS DES BANQUES  

Suite de:

https://www.olonnes.com/2023/03/votre-banquier-auxiliaire-de-la-police-et-du-fisc.html

https://www.olonnes.com/2022/10/les-banques-n-aiment-plus-leurs-clients.html

En France, les banques ont donc accepté de sacrifier leurs devoirs de conseiller de leurs clients, leur devoir de confidentialité, devenant une annexe des services fiscaux et des services de sécurité (Police, Renseignements...).

 

LA BANQUE N’A PLUS DE CLIENTS. ELLE A DES VACHES À LAIT SOUS HAUTE SURVEILLANCE TAILLABLES ET CORVÉABLES

Donc, le client n’est plus un client, le conseiller de clientèle n’est plus un conseiller et nous, les simples citoyens, sommes contraints de devoir être leurs clients et dans l'obligation de leur confier toutes nos transactions et toutes nos petites économies.

Les droits reviennent aux banquiers, les devoirs incombent aux clients particuliers et aux personnes morales concernées.

Il y a le droit à erreur pour le banquier et pas de droit à l’erreur pour tous les déposants de fonds dans une banque...toutes dérives volontaires ou pas du client est sanctionnée par des frais mal encadrés par la loi et prélevés d’office sur ses comptes : 20 euros de pénalités pour, par exemple, 2 millions de clients cela fait 40 millions d'euros au profit de la banque.

 

QUELQUES PRÉCISIONS CHIFFRÉES SUR LES BANQUES ET LEURS CLIENTS

Les résultats des comptes des banques sont opaques à cause de nombreuses provisions pour risque difficiles à identifier. Mais quand on examine les chiffres ci-dessous il faut bien conclure en demandant humblement et fermement aux banques de mieux considérer leurs clients...elles travaillent pour et grâce à eux.

99% des français ont au moins un compte en banque

Près d’un français sur 2 est multibancarisé, c’est-à-dire qu’il a plusieurs banques

81 millions de cartes de paiement en France

Seulement 42 % des Français déclarent avoir confiance dans le système bancaire.

Résultats net 2022 pour BNP : dix milliards d'euros

 

UNE PROCÉDURE ET DES DEMANDES HORS NORMES. LES « OBLIGATIONS LAGARDE » NOUS MÈNENT OÙ EN MATIÈRE DE LIBERTÉS INDIVIDUELLES ?

Certes, on peut comprendre que la banque ait besoin de connaitre ses clients par exemple si un particulier demande un crédit il doit donner des garanties ne serait-ce que pour justifier de son domicile, ses revenus et de sa capacité d'assumer le remboursement de la somme empruntée.

Mais il est incompréhensible que, par exemple, pour une simple clôture de compte, le banquier invoque une « circulaire » de 2009 (version en vigueur au 29 mars 2021) pour justifier la collecte des informations très personnelles de son client.

Ces données  sont  introduites au niveau des ordinateurs des banques et elles iront on ne sait où et seront consultables par on ne sait qui sauf qu'on sait qu'il y a le fisc comme destinataire !

C'est un manque sérieux de professionnalisme. Pourquoi les banques maintenant ont-elles accepté cette contrainte et piègent-elles leurs clients pour les contraindre à répondre à un très long questionnaire fort indiscret.

D’ailleurs, ce type d’action auprès des particuliers n’a jamais empêché la fuite des capitaux et la circulation de l’argent sale.

Pour nous, une circulaire n’impose pas à une banque d’être l’auxiliaire de services de renseignements avec du personnel non qualifié pour ce type d’opération. Si elle acquiesce par devoir, obligation ou complaisance, cela ne devrait être possible que, dans des circonstances précises, en avisant clairement le client et sous contrôle judiciaire de l’utilisation et de la destination des informations collectées...

 

CHANTAGE ET DÉONTOLOGIE

Le client n'a pas à subir le chantage que nous avons vécu : pas d'informations sur une seule question...blocage du compte client !

Cette obligation généralisée comme toute autre n’a jamais  empêché les transferts illégaux de fonds par des politiciens, par des patrons d’entreprises en quête de paradis fiscaux pour échapper à l’impôt en France par des truands et trafiquants...

N’empêche que les demandes d’informations du « conseiller » se fondant sur les pseudo risques de blanchiment d’argent ou pire de financement du terrorisme sont ainsi manipulées maladroitement par un employé de banque.

Ce sont de sublimes HUMILIATIONS du client et un danger latent d’utilisation dévoyée de nos données personnelles de client faites par les banques.

La techno hiérarchie de la banque se soumet à BERCY et à des traités mais elle en oublie les bases du métier, sa déontologie :

  • Respect du client qui la fait vivre,
  • Mesures de protection des données personnelles,
  • Formation du personnel en contact avec la clientèle.

Nous devons faire cesser ce scandale et aussi protéger le personnel des banques contraint à cette basse besogne. Il doit abandonner son rôle d'inquisiteur.

Nous savions déjà depuis des décennies que les institutions bancaires françaises n’étaient pas enclin à instaurer en leur sein une vraie gestion des ressources humaines chargé d'exécuter les ordres cogités par des directions lointaines et hors sol ! Comme celle de faire la course à l'ouverture de succursales puis quelques années âpres d'en fermer des milliers ! C'est le client et le personnel des banques qui payent ces erreurs comme celles du dossier Jérôme KERVIEL, le scandale du CRÉDIT LYONNAIS et celui de la Banque DEXIA.

Aujourd’hui, les banques  franchissent un pas que nous devons aussi dénoncer pour protéger les 370 000 salariés du secteur bancaire chargés de faire appliquer strictement et bêtement des normes que nous jugeons pernicieuses et dangereuses pour toute la collectivité française.

Nous le démontrerons dans notre prochaine parution.

 

À SUIVRE ...

VOILÀ LE SCANDALE ET LE DANGER POUR TOUT CITOYEN : LE RISQUE IMPORTANT DE VOLS DE MILLIONS DE DONNÉES PERSONNELLES...ET LE FISC !

Partager cet article
Repost0
27 février 2023 1 27 /02 /février /2023 17:05
UN SYMBOLE DU MAL ETRE

UN SYMBOLE DU MAL ETRE

 

 

 

CONSTATONS LE SCANDALE DE LA MALTRAITANCE DE NOS MÉDECINS GÉNÉRALISTES, VICTIMES DE LEUR CONFIANCE EN LA SÉCURITÉ SOCIALE,  MAIS SOIGNONS LE MAL QUI EST BEAUCOUP PLUS PROFOND

 

CONVENTION MÉDECIN SÉCURITÉ SOCIALE : ERREUR FUNESTE DES MÉDECINS DONT LES CONSÉQUENCES RETOMBENT AUSSI SUR LES PATIENTS

Le corps médical a accepté de dépendre totalement de la Sécurité Sociale pour « récupérer » ses 25 euros d’honoraires par visite.

Ce que n’imaginait pas les inventeurs de cette coopération scellée par une convention entre les parties c’est que cette solution de facilité pourrait tourner au cauchemar pour les médecins et pour leurs patients.

Les honoraires demandés au patient par un généraliste libéral pour une visite correspondent à la rémunération qui lui sera versée par la Sécurité Sociale.

Ils sont définis par la convention médicale signée entre les médecins libéraux et l'Assurance Maladie.

Il faut comprendre l’enjeu : sur 25 euros d’honoraires reçus pour une visite il reste au praticien « en net » entre 5 à 10 euros une fois ses charges payées. S'il est malade ou en congés  comme tout libéral il n'a pendant cette période aucun revenu...sauf s'il s'est assuré!

En échange du service rendu par la Sécurité Sociale les médecins doivent remplir les documents qui leur sont demandés ce qui leur permet d’avoir leur activité contrôlée et d’être « payés ».

Les médecins sont donc maintenant prisonniers et otages aux mains de de la Sécurité Sociale.

 

LES MÉDECINS ET LES ASSURÉS SOCIAUX PIÉGÉS, LA CAISSE SÉCURITÉ SOCIALE EST PLUS QUE VIDE

Depuis des décennies cette grosse machine Sécurité Sociale a des soucis de gestion et des dettes cumulées et bien camouflées !

Voir le dernier Rapport de la Cour des Compte alarmiste et alarmant. : « Une situation financière dégradée,

un redressement à engager »...c’est clair !

https://www.ccomptes.fr/fr/documents/61636

Selon le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2023, le déficit des régimes de base et du Fonds  Solidarité Viellesse « se réduirait » à 17,8 Milliards d’euros  pour 2022 et une prévision de 6,8 Milliards d’euros pour 2023.

Donc, pour assainir la situation il faut que la Sécurité Sociale fasse des économies douloureuses, injustes, par exemple :

  • en diminuant les remboursements dus aux assurés,
  • en privant les médecins d’une juste rémunération,
  • en frappant les mutuelles complémentaires santé de prendre en charge une part de plus en plus importante de ce qui reste à la charge des adhérents suite aux déremboursementx de ses clients adhérents.
  •  

SAUVEGARDER LE MODÈLE...NON, IL FAUT LE RÉFORMER

Les français demandent toujours plus d’État Providence...mais parfois la Providence devient L‘Enfer.

Il faudrait quand même que les français prennent conscience qu’il y a trop d’État qui ne sait que dépenser et qu’il devient nécessaire de réduire les compétences de l’État à ce pourquoi il était fait : les fonctions régaliennes : Justice, Sécurité, Monnaie.

Chacun et en premier les fonctionnaires savent que le pire des patrons, c’est l’État. C’est un dépensier : 58% du PIB est consommé par l’État endetté jusqu’au cou. C'est un irresponsable anonyme.

Cette situation est un danger pour tous.

 

SAUVEGARDER LE MODÈLE.SOCIAL...NON, IL FAUT D’ABORD LE REPENSER ET DONC LE RÉFORMER COMPLÉTEMENT

La « gratuité » des soins telle qu'elle existe est illusoire et source de gaspillages comme cela a pu être constaté avec la crise sanitaire

Donner du pouvoir et une partie importante de la richesse produite à des irresponsables, c’est condamner à terme le principe même de la protection sociale.

Ce jour, l’enjeu des honoraires des médecins généralistes n’est que la partie visible de l’iceberg du besoin de réforme totale du système.

Les principes de notre système de santé doivent être sauvegardés. Ils ne peuvent l’être que si nos dirigeants toutes parties confondues (Syndicats de salariés, organisations patronales, personnel de santé) s’attachent à aboutir à un accord de refondement de notre système santé.

Ce serait est plus important et sera plus payant qu’une fausse réforme des retraites.

Notre système de santé n’a pas besoin d’une rustine pour boucher le trou des honoraires insuffisants des médecins généralistes il a besoin d’une révision intégrale.

 

 

Partager cet article
Repost0
21 février 2023 2 21 /02 /février /2023 11:39
CORRUPTION

 

 

 

 

LA CORRUPTION, UN MAL SOURNOIS QUI RONGE NOTRE SOCIÉTÉ

 

La corruption désigne le fait pour une personne investie d'une fonction déterminée (publique ou privée) de solliciter ou d'accepter un don ou un avantage quelconque en vue d'accomplir, ou de s'abstenir d'accomplir, un acte entrant dans le cadre de ses fonctions.

 

LES DÉGÂTS IMPRESSIONNANTS CONNUS

 RÉSULTATS EN FRANCE

En 2021 : 801 atteintes à la probité ont été relevées par la police et la gendarmerie dans un rapport du ministère de l’intérieur.

57% des français estiment que les politiques sont corrompus.

France : classée au 21ème rang sur 180 pays étudiés 1ers Danemark, Finlande, Nouvelle Zélande...

Produit Intérieur Brut PIB France : 2 600 milliards d’euros

Prélèvements État : En 2022, les prélèvements obligatoires de l’État devraient atteindre 1 194,1 milliards d'euros, soit 45,2% du PIB.

Cette « manne » tente tous ceux qui ont un pouvoir pour son utilisation : élus, fonctionnaires, personnes morales...ils sont donc nombreux à subir la tentation de corruption ou à corrompre.

 

CORRUPTION ACTIVE, CORRUPTION PASSIVE, COMPLICITÉ DE CORRUPTION

Pour rappel, l’atteinte à la probité comprend six infractions pénales principales comme la corruption, le trafic d’influence, la prise illégale d’intérêts, le détournement de fonds publics, le favoritisme et encore la concussion.

Les complices sont ceux qui ont connaissance de faits de corruption au sens large et qui ne les dénoncent pas...ils sont "victimes" de la corporation passive!

NE PLUS RESTER PASSIFS FACE À LA CORRUPTION QUI SALIT L’IMAGE DE LA DÉMOCRATIE, MINE LE PAYS, DÉGOUTE LE CITOYEN HONNÊTE

Voir :

 Transparency International : https://transparency-france.org/

 

Anticor : https://www.anticor.org/

Partager cet article
Repost0
11 février 2023 6 11 /02 /février /2023 12:44
LE TRAVAIL EST UN DROIT, UN BONHEUR ?

LE TRAVAIL EST UN DROIT, UN BONHEUR ?

 

 

 

 

LE TRAVAIL EST UN BESOIN ET MÊME UN DROIT

 

Il peut même être un bonheur.

La crise sanitaire a révélé des interrogations sur la valeur travail et a fait éclore des prises de position irresponsables qu’il ne faut pas laisser passer.

Il y a des principes intangibles tel que le travail crée de la richesse, il crée la liberté.  L’homme était soumis à la nature, à ses caprices, c’est bien le travail de l’homme qui a libéré l’homme.

Il faut rappeler le PRÉAMBULE DE LA CONSTITUTION DE incorporé dans notre Constitution de 1958

Art.5. Chacun a le devoir de travailler et le droit d’obtenir un emploi. Nul ne peut être lésé,
dans son travail ou son emploi, en raison de ses origines, de ses opinions ou de ses croyances.

Art.8. Tout travailleur participe, par l’intermédiaire de ses délégués, à la détermination
collective des conditions de travail ainsi qu’à la gestion des entreprises.

Art.11. (La loi) Elle garantit à tous, notamment à l’enfant, à la mère et aux vieux travailleurs, la
protection de la santé, la sécurité matérielle, le repos et les loisirs. Tout être humain qui, en
raison de son âge, de son état physique ou mental, de la situation économique, se trouve dans
l’incapacité de travailler a le droit d’obtenir de la collectivité des moyens convenables
d’existence

 

RÉFLEXIONS SUR LE RAPPORT DE L’HOMME AVEC LE TRAVAIL APRÈS LA CRISE SANITAIRE

Opposer travail et liberté, c’est l’expression de la démagogie de bas étage dont il faut laisser la paternité aux irresponsables.

 Mais de là à dire que le travail rend l’individu libre il n’y a qu’un pas qu’il faut faire avec beaucoup de prudence. Quand un individu était envoyé aux « travaux forcées » ce n’était pas lui procurer de la liberté !

Oui, le travail rend libre à deux conditions : que le travailleur ait l'intelligence de son travail et que les conditions de réalisation de son travail soient bonnes.

L’opposé du travail est l’oisiveté, mère de tous les vices...vendre l’oisiveté comme mode de vie comme but est une escroquerie.

 Il faut être professeur d’économie comme Sandrine ROUSSEAU, Europe Écologie Les Verts pour oser dire que « le travail est une valeur de droite » et revendiquer le « droit à la paresse , c’est peut-être une revendication que la liberté d’expression permet de clamer, mais c’est surtout l’expression d’une irresponsabilité monstrueuse. Le travail est une valeur commune, un droit et peut-être un devoir.

Cela va plus loin car vraiment il faut faire de la politique de Comptoir du Café du Commerce pour oser penser et dire aussi que les jeunes particulièrement sont atteints d’une épidémie de flemme.

Il y a des malades, des fainéants par nature mais, par exemple, n’oublions pas que toutes les études sur les chômeurs prouvent que parmi les maux sociétaux un des pires est le chômage, la privation d’emploi et donc de travail.

D’ailleurs quand un individu a fauté on l’enferme en prison. Donc, on le prive de sa liberté et de travail...mais pour le réhabiliter il lui est ouvert possibilité de travailler en prison.

Pour rendre le travail plus attractif, il faut pouvoir améliorer la place du travail dans la vie, les conditions de travail mais avec prudence. La France n’est pas une île et laisser partir le travail à l’extérieur se révèle la pire des bêtises : c’est priver la France d’emplois, la priver de biens essentiels comme les médicaments.

OUI, le travail rend libre, à condition que le travailleur ait l'intelligence de son travail et que les conditions de réalisation de son travail soient bonnes.

 Les études sur la privation d’emploi sont claires :

« LE TRAVAIL EST DONC UNE POSSIBILITÉ D’ACCOMPLISSEMENT DE SOI.
EN ÊTRE PRIVÉ BRUTALEMENT, C’EST RUINER LE CHEMIN DE CET ACCOMPLISSEMENT »  Christophe Dejours, médecin psychiatre et psychanalyste, fondateur de la psychodynamique du travail

Partager cet article
Repost0
8 février 2023 3 08 /02 /février /2023 22:11
C'EST BIEN UNE MAIRIE DANS NOTRE DOUCE FRANCE...LE MAIRE PEUT-Il INVESTIR QUOI ET COMMENT ?

C'EST BIEN UNE MAIRIE DANS NOTRE DOUCE FRANCE...LE MAIRE PEUT-Il INVESTIR QUOI ET COMMENT ?

 

 

 

 

LES COLLECTIVITÉS LOCALES SONT LES PREMIERS INVESTISSEURS PUBLICS

En 2021, les seules communes et leur groupement à fiscalité propre ont consacré 38,3 Milliards d’euros aux investissements.

Les 35 000 communes et les 1 265 groupements à fiscalité propre qui forment ce qu’on appelle le bloc communal « dépensent » au total 159 milliards d’euros.

Globalement un quart de ces dépenses du bloc communal est affecté à l’investissement qui comprend des biens et de matériels durables, de la construction ou l’aménagement de bâtiments, de travaux d’infrastructure, d’acquisition de titres de participation ou d’autres titres immobilisés, du remboursement en capital des emprunts...

Une commune et ses élus s’honore d’économiser sur leurs frais de fonctionnement pour se garder des moyens pour financer des achats qui sont des investissements, donc des biens durables et visibles pour leur commune.

 

DES MOYENS POUR INVESTIR...À CONDITION D’ÊTRE FOURMI ET PAS CIGALE...

Une commune ou un groupement de communes ne sont pas comme l’État.

Ils doivent toujours et tous les ans voter un budget équilibré, ils n’ont pas le droit au déficit.

Et, tous les ans, le compteur est remis à zéro en fonction de la règle de l’annualité du budget et de ses rares exceptions.

SIMPLIFIONS...

Communes et groupement de communes ont des recettes (fiscalité, produits des services rendus, subventions de l’État et maintenant des départements de la Région et Europe, recettes diverses... )

Ils ont des charges dont la principale est celle des frais de personnel qui représente environ 60 % des charges de fonctionnement !

La comptabilité des communes et de leurs groupements est simple :

Total des recettes – Total des dépenses de fonctionnement = Résultat

Et, c’est ce « Résultat » qui va servir à financer leurs investissements !...avec, aussi, le recours (limité voire encadré de plus en plus ) à l’emprunt.

Plus une commune économise sur ses frais de fonctionnement plus elle peut enrichir sa collectivité en investissant, en créant des biens durables : voirie, écoles, immeubles et autres équipements à vocation sociale, culturelle...

 

LA DEMANDE CONTRADICTOIRE DES CITOYENS À LEURS COMMUNES : TOUJOURS PLUS DE SERVICES PUBLICS ET TOUJOURS MOINS D’IMPÔTS

Le citoyen demande toujours plus de services à sa collectivité et si possible de services gratuits : accès aux équipements sportifs et culturels, bibliothèques et médiathèques, moyens de transports, cantines scolaires, voirie et réseaux, zones industrielles et commerciales, sécurité, maisons de retraite, logement, garderies, espaces verts aménagés, assainissement, aides sociales...

Tout cela et le reste a un coût !

En face, la collectivité concernée doit financer toute dépense nouvelle mais augmenter la fiscalité de 15 euros par an fait hurler souvent le citoyen électeur et contribuable payeur et râleur. C’est humain mais pas productif pour la collectivité.

 

UNE COMMUNE DOIT-ELLE INVESTIR ? NE RIEN FAIRE ?

D’abord, une commune doit savoir ÉCONOMISER...et il y a toujours des possibilités de le faire...pour ceux qui ont un doute nous recommandons les écrits de l’ancien député, élu local, devenu spécialiste des dépenses publiques René DOSIÈRE :

http://renedosiere.over-blog.com/

FAIRE OU NE PAS FAIRE ?

Une municipalité nouvellement élue doit faire ce qu’elle peut avec l’héritage que lui laisse son prédécesseur, avec ses projets, avec les opportunités qui se présentent...elle peut même ne rien faire ! Y compris même « s’assoir » sur ses promesses. En général, elle choisit d’investir.

Ayant parfois serré les boulons, le maire est alors contraint de faire des choix d’investissement d’une part, entre les projets proposés aux électeurs et d’autre part, les urgences, les nouveaux besoins et le tout avec des moyens financiers qu’il ne maitrise pas totalement...et sous la pression de ses concitoyens.

Situation complexe qui conduit parfois certaines municipalités à se résoudre à l’exécution des affaires courantes...mais ce n’est pas comme cela que se construit l’avenir d’une cité.

C’est l'illustration de la mission impossible du maire : critiqué et parfois pire dès qu’il fait des investissements, critiqué, un peu moins, s’il ne fait rien !

 

C’est pour cela que maire, c’est une noble fonction, ce n’est pas un métier.

C’est pour cela aussi que la noble fonction d’élu est souvent vite délaissée par celui qui l’avait choisie.

Il faudra donc apprendre au citoyen à respecter la fonction d'élu et revoir aussi le statut d'élu pour avoir des hommes et des femmes compétents respectables et respectés.

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
30 janvier 2023 1 30 /01 /janvier /2023 11:11
LES SABLES D'OLONNE AGGLOMÉRATION

LES SABLES D'OLONNE AGGLOMÉRATION

POURQUOI SUIVRE LES SÉANCES

D'UN CONSEIL COMMUNAUTAIRE D'AGGLOMÉRATION ?

 

Association citoyenne, il nous appartient  de faire mieux et plus connaître ce que peut réaliser cette importante collectivité dotée de larges compétences (urbanisme, logement, ordures ménagères, économie locale...) qui rassemble les anciennes Communautés de Communes des Olonnes CCO et celle de l'Auzance et de la Vertonne CCAV soit, avec la commune de Saint-Mathurin qui a rejoint ce regroupement, une entité avec un territoire cohérent qui compte une population de 54 000 habitants.

 

Pour en savoir plus : https://www.lsoagglo.fr/

 

Conseil communautaire intéressant car il va permettre de passer en revue l'évolution des principaux projets et activités de la collectivité ( logement, Parc des Chirons, Arena, parkings, piscines, assainissement)...des millions d'euros engagés pour le maintien de la qualité de vie des citoyens qui sont les contribuables financeurs et doivent garder leur mot à dire.

 

Rappelons que les séances des Conseils Municipaux et Communautaires sont publiques et que la configuration de la Salle du Conseil ne permettant pas de recevoir un public important, les personnes souhaitant assister à ce Conseil Communautaire devront se présenter au moins une demi-heure à l'avance afin d'être assurées d'avoir une place.

 

 

 

LE PROCHAIN CONSEIL COMMUNAUTAIRE AURA LIEU

 

LE JEUDI 2 FÉVRIER  2023

À 19  HEURES

MAIRIE ANNEXE DE LA JARRIE

QUARTIER D'OLONNE-SUR-MER 

 

LES SABLES D'OLONNE AGGLOMÉRATION : CONSEIL COMMUNAUTAIRE DU JEUDI 2 FÉVRIER 2023
LES SABLES D'OLONNE AGGLOMÉRATION : CONSEIL COMMUNAUTAIRE DU JEUDI 2 FÉVRIER 2023
Partager cet article
Repost0