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2 novembre 2017 4 02 /11 /novembre /2017 15:54
LES MÉTHODES D'ISABELLE DOAT ET DE JOËL MERCIER MISES EN CAUSELES MÉTHODES D'ISABELLE DOAT ET DE JOËL MERCIER MISES EN CAUSE

LES MÉTHODES D'ISABELLE DOAT ET DE JOËL MERCIER MISES EN CAUSE

DÉBAT SUR LES MÉTHODES DU MAIRE JOËL MERCIER ET DE SON ADJOINTE ISABELLE DOAT

 

Suite de

http://www.olonnes.com/2017/10/chateau-d-olonne-conseil-municipal-du30-octobre-2010.html

 

C'est l'élu d'opposition Gérard MAINGUENEAU qui a ouvert le bal. Il est membre de la commission municipale  qui a eu l'honneur de traiter de cette délibération faussement appelée "ÉCHANGE DE TERRAINS" et qui aurait dû s'appeler "PROJET DE DÉVOIEMENT DE LA ROUTE LITTORALE".

L'élu estime ce dossier comme "révélateur" du dysfonctionnement de l’institution : "On n'est pas au courant...il n'y a pas de débat d'idées...on agit et on ne s'écoute pas...je le dis, prenez un peu de temps...la manière ne me plait pas du tout..."

Il met en cause les dysfonctionnements de la municipalité et particulièrement le travail en commission où les dossiers sont présentés tout "ficelés". les comptes rendus en seraient même rédigés d'avance ! "le travail est fait avant". "Il n'y a pas de dialogue".

Il faut savoir que, par exemple, Isabelle DOAT première adjointe a rituellement , comme moyen systématique de défense, contre un élu qui ose émettre des idées, critiques et suggestions  en Conseil Municipal l'argument qu'il n'a qu'à assister aux commissions ou même qu'il devait savoir par ses collègues le travail fait en commission.

Si on suit ce raisonnement, en ce cas, le Conseil Municipal n'est plus qu'une Chambre d' enregistrement !

Mais le problème est plus grave car, lors des commissions, les élus arrivent en séance sans avoir eu connaissance des dossiers. Ils ne peuvent donc émettre leurs opinions que lors du Conseil Municipal suivant. D'où les critiques acides de l'élu mettant en cause le fonctionnement antidémocratique de l'institution et le dialogue impossible même en commission.

UNE DÉCISION JUSTE AVANT LA FUSION EST-CE RAISONNABLE  ?

Sur le fond, l'élu et son chef de file reviennent sur un argument très important, une question...on est à quelque mois de la fusion des 3 communes, ce problème d'aménagement, cet engagement financier très important ne devraient-ils pas être reportés de quelques mois donc après la fusion ?

La sénatrice ANNICK BILLON tient à mettre les points sur les i  : oui à la renaturation de la zone mais pour le reste elle ne participe pas aux débats . Elle était écartée de fait de cette commission.

SUR CE QUESTIONNEMENT NI LE MAIRE NI SON ADJOINTE N'ONT RÉPONDUÀ LA QUESTION POURQUOI PRÉCIPITER LES CHOSES ?

On peut tout imaginer sur le pourquoi de cette délibération, sur cette précipitation :

- boucler le dossier avant la fusion...parce que tout n'y est pas clair ?

- parce qu'il y a des obstacles juridiques ? d'autres solutions techniques  plus simples et mois onéreuses pour la réalisation de ce projet?

- le maire craint-il une réaction négative de la population castelolonnaise et des contentieux qu'il laisserait à la Commune Nouvelle comme cadeau empoisonné?

CONCLUSION DU DÉBAT ADOPTION DE LA DÉLIBÉRATION

L'élu d'opposition socialiste Anthony PITALIER a proposé une médiation en demandant au maire de renoncer à la justification qu'il avance et qui figure dans le dossier incriminé "permettre la réalisation du projet avec le dévoiement de la route littorale."

Cette proposition ne fut même pas discutée.

On passe au vote. Seuls les 5 élus de l'opposition votent contre ou s'abstiennent.

Un vote au bulletin secret aurait été bienvenu et aurait donné à la  délibération une assise démocratique qu'elle n'aura pas.

On reparlera encore beaucoup du DÉVOIEMENT DE LA ROUTE LITTORALE.

 À SUIVRE... D'AUTRES DÉLIBÉRATIONS

 

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